1. L'étudiante sodomisée. (4)


    Datte: 11/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... soirée.
    
    C’était un Africain noir comme l’ébène, très grand et très mince. Ce n’était pas spécialement le genre de marmule que j’escomptais. J’étais déçue au premier abord. Moi qui espérais un mâle bien baraqué ! Mais, bon, on verrait ce qu’il y avait dans le slip.
    
    Léon fit les présentations. Issan n’était pas surpris de me voir là, car mon cousin l’avait averti par mail de ma présence.
    
    Les retrouvailles furent chaleureuses entre les deux colocs. Ils s’aimaient bien, parlèrent études, reprises des cours, jeux vidéos, etc. pendant l’apéro et le repas. J’intervins assez peu dans la conversation, mais répondis aux questions de mon nouveau coloc quant à mes études et autres choses du quotidien. Il ne paraissait pas perturbé de devoir partager la coloc avec une fille.
    
    Arrivé au dessert, je passais à l’attaque en le questionnant discrètement, d’abord sur sa famille, puis je lui demandais s’il avait une petite amie. Il n’en avait pas.
    
    — Ça t’intéresse pas les filles ?
    
    Il éclata de rire !
    
    — Si... mais j’ai pas trouvé... pas le temps... les études, tout ça.
    
    — Même pas chez toi ?
    
    — Oh non, quand on commence à sortir avec une fille dans mon pays, les familles parlent mariage tout de suite... je suis pas pressé.
    
    — Et t’es encore puceau ?
    
    Là, il faillit s’étrangler toujours en riant. Un rire qui cachait bien souvent une forme de gêne.
    
    — Dis donc, elle est directe ta cousine...
    
    — Oui, répondit Léon, te formalise pas.
    
    — Alors t’es puceau ?
    
    — Bah, ...
    ... j’ai bien eu quelques flirts dans des soirées ici...
    
    — Mais tu n’as jamais trempé ta trique ?
    
    Il éclata de rire à nouveau.
    
    — Ça devient gênant là...
    
    — T’es puceau, avoue.
    
    — Bon ben, on va peut-être débarrasser... essaya-t-il de botter en touche.
    
    — Tu sais ? repris-je. Léon ne l’est plus que depuis quinze jours. Alors y a pas de honte...
    
    Issan regarda mon cousin d’un air interrogateur.
    
    — C’est vrai ?
    
    — Oui...
    
    — Ah... et tu racontes cela à ta cousine ?
    
    — J’étais pucelle aussi il y a quinze jours.
    
    Il nous regarda l’un après l’autre, interloqué, en s’interdisant sans doute de faire l’association d’idées qui lui venait à l’esprit. Il secouait doucement la tête en disant non, non, non, non et en rigolant.
    
    Je secouais la tête aussi en sens affirmatif.
    
    — Non, non, non, je vous crois pas... tu me bizutes là Léon, Ah, ah, ah.
    
    — Non regarde !
    
    Et je roulais une pelle à mon cousin qui n’opposa aucune résistance.
    
    — Tu vois !
    
    Il rigolait de plus belle.
    
    — C’est pas possible, pas possible...
    
    — Pourquoi, chez vous personne ne nique sa cousine ?
    
    — Si, bien sûr, ça arrive... mais pas vous...
    
    — Tu as vu...
    
    — Un baiser, ça se simule... C’est comme au cinéma... C’est pas comme...
    
    — Comme quoi ?
    
    — Comme le reste.
    
    Je m’approchais de mon cousin à le toucher.
    
    — Caresse-moi mon gros.
    
    Lentement, Léon mit ses mains sur mes jambes, remonta sous la jupe et commença à me doigter sous l’œil ébahi de l’Africain qui continuait à ...
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