Petite Chérie - Histoires de Sexe

Petite Chérie

... surtout le fluide de sa jouissance, puis il commence à chatouiller l’ultime entrée. Elle sursaute lorsque son premier doigt pénètre dans ses fesses avec délicatesse, comme s’il effleurait une orchidée. Une délicieuse sensation de chaleur envahit le troisième petit orifice, si mignon… et tellement timide…

Elle sent d’abord comme un petit déchirement qui ne dure pas bien longtemps. Dès que l’accès est bien lubrifié, l’homme insère deux doigts pour dilater un peu l’étroit fourreau. Cette nouvelle sensation remonte jusque dans la tête de Petite Chérie. Elle a à nouveau une folle envie de frotter sa petite chatounette et s’y adonne avec ardeur. Pendant ce temps, l’Homme continue doucement, en observant chacune de ses réactions, de peur qu’elle ne trouve cela douloureux, de peur qu’elle n’aime pas ça, puis il introduit un troisième doigt, toujours avec la même douceur.

Petite Chérie, une main se caressant le sexe, l’autre agrippée au drap, a les cheveux mêlés de sueur ; les yeux fermés, elle a perdu sa dernière virginité. Désormais, elle est toute à son Homme. L’Homme a mouillé son pénis de salive et il dirige son gland vers cette ouverture, la pénétrant petit à petit, sans la brusquer.

Elle découvre alors une nouvelle sensation, très spéciale, cette sensation, étant prise par l’arrière, d’être plus encore remplie, de plus encore appartenir à son Homme !

Enfin !

Rapidement, l’Homme a repris son rythme de guerrier moderne. Elle avait déjà la tête plongée dans un ...

... champ d’étoiles, mais elle pousse maintenant des petits soupirs, sa main serre le drap, ses dents mordillent ses lèvres brûlantes de désir, elle subit une telle extase ! Plus il accélère, plus elle gémit, plus elle s’agrippe au drap, et plus elle chatouille son clitoris : et puis, l’EXTASE ! L’Homme s’est lâché tout entier en elle. Il l’a dépucelée deux fois dans la même matinée.

Petite Chérie a éprouvé une jouissance interminable qui l’a rendue totalement folle, comme une jument qui court sur une route sans fin, comme une licorne qui s’élance vers le ciel.

Elle a vraiment l’impression d’être enfilée par un engin dur comme de l’acier et elle galope de plaisir en plaisir.

— Je t’aime… dit l’Homme en la couvrant de petits baisers sur l’épaule.

Il s’écroule enfin face à Petite Chérie, visage contre visage.

— Tu m’as fait tourner la tête, Petite Chérie…
— Moi aussi, mon amour. Je t’aime plus que jamais…

Petite Chérie lui répond d’une voix fatiguée mais heureuse, remplie de tendresse, les yeux légèrement fermés. Sa main caresse le visage de son Homme, son sourcil, son nez, le contour de ses lèvres…

Elle reste dans ses bras, ils sont tous les deux allongés, peau contre peau. Ils ne bougent plus.

Comme les enfants comblés de bonheur, la joie s’étale sur leur visage.

Un petit air frais matinal rentre dans la chambre, leur caresse la peau… La vie s’éveille derrière la fenêtre. La chambre reste toujours dans l’ombre, les volets entrebaîllés…

C’est vrai que le ...