Petite pute pour daddies (2)
Datte: 29/06/2020,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... comme d’hab, mais une fois revenu à la maison, j’ai vite transféré les photos sur mon ordi et j’ai maté Juan à poil à côté de moi en bandant comme un âne et je me suis branlé.
On a trouvé notre rythme. Sport, cours. Et puis je l’ai rejoint à la salle d’autres soirs. Je passe de plus en plus de temps avec lui. Et j’ai laissé repousser mes poils... On est devenus beaucoup plus complices. Il me claque dans le dos, on se donne des bourrades, on rigole. Parfois, il me savonne le dos. Je n’ai pas encore osé le lui faire. Ça me ferait bander. Mais lui peut me frotter sans s’exciter... je me dis que s’il était vraiment gay... Qu’est-ce que je m’imagine ? J’ai tellement envie d’y croire !
Un soir, en nous changeant, nos affaires étant les unes avec les autres, j’ai profité qu’il ait le dos tourné, pendant qu’il enfilait son slip propre, pour prendre celui qu’il venait de laisser. Je pourrais toujours prétexter une distraction s’il s’en rendait compte.
Le soir, je me suis allongé nu sur mon lit, et je me suis pignolé comme un fou en sniffant ses dessous. J’ai juté jusque sur mes tétons et je me suis essuyé avec le slip... son slip !
Le surlendemain, dans les vestiaires, comme nous étions à poil, il a pris son tanga (il ne porte que ça, voire des mini-slips) qu’il venait d’enlever, s’est essuyé avec en prenant bien soin d’insister entre les cuisses et sous les bras qui transpiraient abondamment et il me l’a plaqué sous le nez.
— Eh ! Tu fais quoi ?
— Tu m’as piqué mon ...
... slip avant-hier hein ? C’est pour te punir.
Il disait cela en riant.
— Non, non... ai-je balbutié... ou alors je l’ai pris sans faire attention.
— Ah ouais ?
— J’vais regarder.
— Vas-y !
— Maman a vidé mon sac. Je vais regarder à l’appart.
— Mais tu sais que c’est pas bien de voler les slips des grandes personnes hein ? Tu voulais en faire quoi ?
— Ah... non, non... rien... c’est pas sûr que ce soit moi.
— Allez, cool, je te charrie... Moi, j’aime bien les dessous. J’en ai une grande variété... Toi aussi on dirait.
— C’est vrai que c’est le seul truc que j’achète moi-même... j’aime bien les boxers...
— Moi, j’en porte que chez moi.
— Ah !
— On échange ?
— Quoi ? Nos slips ?
— Disons que je prends le tien en otage au cas où tu ne me rapporterais pas celui que tu m’as piqué.
— Si je l’ai pris...
— C’est pour cela que je te laisse celui-ci... au cas où je me trompe. Mais quelque chose me dit que tu vas retrouver l’autre. Ta mère va bien voir qu’il est trop grand pour toi. Tu fais M toi, non ?
— Oui.
— Moi L.
Je fus très perturbé par cette discussion anormale et pleine de sous-entendus. M’avait-il deviné ? Qu’allait-il à faire de mon slip ?
Bien sûr, rentré chez moi, j’enfouis mon nez dans cette merveille, répétant le prénom de l’homme qui le portait dans un murmure amoureux, en aspirant de larges bouffées de son odeur de mâle... j’y restais tellement longtemps qu’à quelques minutes près, ma mère aurait très bien pu ...