Marie-Hélène et la Féria de Bayonne
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... disparue. Ni devant, ni derrière, j'ai beau chercher, appeler, sillonner la rue et la zone en tous sens. Je dois me rendre à l'évidence, Marie-Hélène n'est plus là... Je refais la même rue pendant au moins deux heures d'affilé, je repasse au même endroit au moins 20 à 30 fois... Je me dis qu'elle s'est affalée derrière une porte cochère ou une entrée de maison... Je visite tout, la hargne au ventre. En vain. Je suis inquiet et en colère, de m'être ainsi fait berner par ces jeunes blancs-becs... Je ne suis pas dupe de ce qui peut se passer ; je l'imagine très bien... Je sais que les femmes ivres peuvent attirer des hommes. Il y a des hommes qui aiment ça, et qui les recherchent, ça les excite terriblement! Je ne sais plus que faire ni où chercher. Il n'y a plus qu'à attendre. Je rentre à l'hôtel, il est 2 heures du matin, déçu et la rage au ventre.
Elle est revenue à l'hôtel le lendemain vers 11h, elle est descendue d'un taxi sous l'œil goguenard et ironique du chauffeur qui la ramenait... Elle était sale, encore à moitié ivre, la robe déchirée derrière et sur le côté, maculée de terre et de vinasse, une bretelle d'épaule de la robe cassée, les jambes sales, le visage sali par des coulures de fards défaits, les cheveux poisseux collés par divers liquides et sécrétions séchés.
Je l'aide à se déshabiller, je remarque qu'elle n'a plus de slip ni de soutien-gorge. Maintenant qu'elle est nue, je m'aperçois que ses seins sales gardent des rougeurs d'avoir été trop pressés, ...
... trop pelotés. Son corps présente des tâches de vin rouge séchées et des coulures de vinasses zèbrent son buste, son dos, ses fesses et l'intérieur de ses jambes, jusqu'aux chevilles... Sa chatte suinte encore d'une sécrétion blanchâtre, sans doute du foutre ; les poils de sa fente sont tout collés de croûtes formant des amas jaunâtres qui doivent sûrement être des restes de sperme séché mêlé à la vinasse.
Pendant plus d'une heure, elle ne dit pas un mot et moi non plus. Je la lave avec tendresse et précautions, comme pour effacer les stigmates de cette débauche dont je sais que maintenant elle la regrette, après l'avoir tant souhaitée... Puis elle s'endort pour trois bonnes heures durant. Nous sommes repartis dans l'après-midi et nous n'avons pas échangé une seule parole jusqu'au nord de Bordeaux.
Enfin, alors que la nuit tombe, je m'arrête car je sens qu'elle a besoin de parler.
Et là, pendant plus d'une heure elle me raconte, intarissable, mais marquant de longs silences qu'elle rompt en s'excusant parce qu'elle ne se souvient pas de tous les instants, surtout des premières heures, parce qu'elle était trop bourrée pour s'en souvenir parfaitement... Les choses lui reviennent par bribes et elle les reprend en flash-back pour les réorganiser dans le temps et dans l'espace de ce qui s'est passé....
La farandole l'a entraînée et l'a fait courir dans la rue sans qu'elle puisse résister... Au bout de quelques minutes de cette course folle, elle s'est sentie soulevée par ...