1. Emily ou le narcissisme sexuel (1)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: MasterLola, Source: Xstory

    Emily était de ces femmes que la nature avait gâté. Ce jour-là, sur une plage au bord de la Mer Méditerranée, son maillot de bain couleur pourpre attirait le regard de tous les hommes, quelque soit leur âge. Tous voulaient connaître l’identité de cette jeune brune de 27 ans à la peau bronzée, dont le haut peinait franchement à cacher l’ampleur de sa poitrine. Cette attention ne la dérangeait pas le moins du monde, elle cherchait justement à l’obtenir. Elle aimait être contemplée, susciter l’intérêt. Son objectif, à peine dissimulé, était de cultiver cet érotisme égocentrique qui la faisait exister.
    
    Le soir-même, elle couchait avec un agent immobilier d’une quarantaine d’années rencontré sur la plage. Ils s’étaient donnés rendez-vous dans un petit hôtel du centre-ville car l’homme, marié, ne souhaitait pas être vu en si bonne compagnie. Les murs de la chambre tremblèrent sous la pression de leurs ébats sexuels mouvementés ; Emily, en plein chevauchement, rebondissait sur le pénis fermement dressé de son amant qui, lui, pétrissait ses seins fermes entre ses mains. C’était uniquement dans ce genre de situation, en encaissant les coups de reins que lui assénait la gente masculine, qu’elle se sentait heureuse, comprise et aimée. Leur nuit se termina par un simple missionnaire au cours duquel l’homme éjacula abondamment dans son préservatif. Pas question pour lui de mettre enceinte une autre femme que la sienne...
    
    ***
    
    Plus tard dans la semaine, Emily partit à la ...
    ... rencontre d’un jeune et célèbre photographe qui avait été séduit par sa plastique. La jeune femme voyait en cette séance photo une nouvelle occasion de nourrir son ego en exposant une fois encore son corps à la vue de tous. C’est donc sans aucune pudeur qu’elle accepta de se déshabiller intégralement, face à cet homme qu’elle connaissait à peine. Durant cette séance qui s’étala sur plus de deux heures, Steve put pleinement admirer les courbes somptueuses de sa muse qui se pliait à la moindre de ses exigences. Aléatoirement, elle pouvait être debout en transpirant l’assurance, ou bien recroquevillée sur elle-même, tel un petit animal blessé. Pour des motifs esthétiques (ou fétichistes...), Steve avait demandé à Emily de garder ses talons aiguilles. Amusant n’est-il pas de penser que les chevilles puissent être la limite de l’impudeur ?
    
    C’est en regardant ses propres portraits qu’Emily, toujours en tenue d’Ève, se surprit à sentir les mains douces du photographe parcourir la surface de son fessier. Excitée par la situation, elle saisit sa main, se retourna, puis la déplaça de son postérieur à l’intérieur de ses jambes. Steve se retrouvait maintenant à caresser les lèvres de cette nymphomane de 27 ans, et ce ne lui était pas déplaisant. Après plusieurs minutes à subir de timides attouchements, la jeune femme alla s’asseoir sur le bureau au centre de la pièce, et écarta les cuisses. Répondant à cet appel si provocateur, l’homme se précipita vers la fente et y plongea sa langue. Prise ...
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