1. Mâle reproducteur (4)


    Datte: 10/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: yug0lit0, Source: Xstory

    ... fera sept.
    
    — Je sais que j’ai une grande baraque, j’ai ma femme qui y fait des travaux, mais ce n’est pas une raison. On va finir par manquer de place.
    
    — Je sais, mais ce n’est pas grave. Tu trouveras une solution.
    
    — Faut vraiment que j’arrive à garder ma queue dans mon froc moi. Je n’arrête pas de me faire piéger, de me faire harceler.
    
    — Je sais. C’est difficile de ne pas être hors-la-loi. Refuser de coucher peut être considéré comme refuser de se reproduire et par les temps qui courent, c’est un crime.
    
    — Comment tu fais toi ?
    
    — Euh c’est compliqué.
    
    — Oh ! Toi tu me caches quelque chose.
    
    — Disons juste que si je faisais comme toi, à savoir, épouser chaque femme que j’engrosse, je serais marié à tout le canton.
    
    — Ah ! ..... OK je vois.
    
    — Seul un tiers des femmes sont acceptées à la reproduction d’après les statistiques.
    
    — La moitié des postulantes maintenant.
    
    — OK cinquante pour cent si tu veux. Donc je disais qu’avec de telles statistiques, comment tu expliques que plus des trois quarts des femmes de mon village aient un enfant ? Et pour certaines plusieurs ?
    
    — OK je vois.
    
    — Quand la factrice arrive, elle n’accepte de me donner mon courrier que si je lui mets un coup dans le cornet. Va savoir pourquoi, elles se relayent avec ses collègues et c’est jamais la même. J’ai aussi parfois, sans comprendre pourquoi, des problèmes d’électricité sur mon compteur. Quand l’électricienne arrive, je te laisse deviner comment je paie la note. C’est ...
    ... à croire qu’elle me sabote mon panneau électrique. Idem pour la garagiste, la boulangère, la ...
    
    — STOP ! Je crois que j’ai compris. Mais quand même, cette « obligation » de ne pas refuser, c’est presque du travail forcé. C’est à se demander pourquoi on nous a mis en retraite.
    
    — Je sais, je te comprends.
    
    On a fini par trouver une date et Raoul est devenu mon beau-père. Physiquement, sa fille était loin d’être moche. Elle était plutôt super bien foutue même. Ce n’était pas facile de la repousser. Une fois mariés, on pouvait y aller sans problème. On s’est arrangé et j’ai sacrifié ma chambre. Du coup, je n’en avais plus pour moi ... Ou plutôt si. J’en avais sept. On s’est réuni avec mes épouses. Chacune aurait son jour. Chaque soir, je passe la nuit avec l’une d’elles. A elles de s’arranger si elles veulent échanger leur jour.
    
    Depuis que sa fille avait accouché, Raoul est très souvent venu nous voir, surtout pour jouer au papy gâteau. C’est lors de l’une de ces visites qu’il a abordé un point important. J’avais des garçons et j’allais devoir les envoyer dans un des centres de formation avant qu’ils fassent leur service en tant que mâle reproducteur. C’est vrai que c’était quelque chose auquel je n’avais pas pensé. Lui y avait envoyé plusieurs de ses enfants déjà. Par la suite, j’ai appliqué sa méthode pour les femmes de mon voisinage. Plusieurs étaient moches, mais par-derrière, c’était plus supportable surtout avec un sac sur la tête. Et puis, avec un coup de pine ...