1. Don Booth et la théière disparue


    Datte: 10/04/2018, Catégories: h, fh, fff, fffh, couple, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... plusieurs dizaines de minutes, peut-être juste quelques secondes, je ne saurais dire. J’avais tellement d’étoiles dans la tête que j’aurais pu tout aussi bien pu être un acteur de Star Trek en plein milieu d’un tournage. Une douleur sourde irradiait dans mon crâne, me rappelant le jour où une grenade avait éclaté à côté de moi pendant la guerre de Corée… euh… une minute ! Je n’ai pas fait la guerre de Corée, je n’étais même pas né à l’époque. Merde ! Mes pensées se troublaient, je perdais la boule, début d’amnésie peut-être… Et pourquoi faisait-il si noir là-dedans ? Parce que la porte de la penderie était fermée… Zut, manquait plus que ça, elle avait dû se claquer derrière moi pendant ma chute. Et bien sûr, pas de poignée à l’intérieur !
    
    Je poussai de toutes mes forces, déclenchant un torrent de protestation dans mon crâne douloureux. Rien à faire ! J’étais bel et bien prisonnier de ce dressing maudit ! Heureusement, les portes n’étaient pas parfaitement jointes, et je pouvais respirer, je voyais même une partie de la chambre en collant mon œil contre la fente, mais je n’allais quand même pas passer la nuit ici !
    
    — Karen ? Aurélie ? Agathe ?
    
    Pas de réponse…
    
    — Quelqu’un ? N’importe qui, mais quelqu’un ?
    
    Pas de réponse…
    
    — Jacob ? Harris ? Ah non, merde, il est sourd muet…
    
    Était-il possible que tout le monde m’ait abandonné ?
    
    Et pourtant j’entendis un bruit, des voix, dehors, dans le couloir… Je pris une grande bouffée d’air et me préparai à crier de ...
    ... toutes mes forces quand je vis à travers la porte de la penderie deux silhouettes entrer dans la chambre. Je ne criai pas. Je n’appelai pas. J’avais reconnu les deux personnes, qui d’ailleurs n’étaient visiblement pas venues là pour moi…
    
    — Ici, ma chère, dit Lord Hurt, il n’y a personne, ce sera parfait !
    
    Parfait pour quoi ? Mes sens étaient en alerte. Mon instinct me disait qu’il allait se passer quelque chose.
    
    — Oh oui, mon amour, il était temps, répondit sa femme, je n’en pouvais plus ! Je brûle !
    — Oui, je sais, répondit son mari.
    
    Et là, j’avoue que je n’ai pas tout compris tellement tout a été rapide… Il faut dire que mon crâne avait absorbé tellement de brume ce jour-là qu’il était à deux doigts d’exploser sous la pression. Les boutons du chemisier pure soie de Lady Hurt giclèrent à travers la pièce, l’un d’eux venant même s’éclater contre la porte de la penderie. Elle avait arraché son vêtement tellement fort que je vis des marques rouges se former sur sa peau blanche à l’endroit des coutures. Son mari agrippa le soutien-gorge de grande marque juste entre les seins de la dame et tira si brutalement dessus que non seulement celui-ci se déchira, mais qu’en plus, la Lady vola à travers la pièce, retombant fort heureusement sur le lit où elle rebondit plusieurs fois tout en retroussant sa jupe. Lord Hurt avait déjà baissé son froc et ses sous-vêtements. Son membre était petit et trapu, déjà dur comme du bois, rouge cramoisi et prêt à l’action. D’où j’étais, ...
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