1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (17/20)


    Datte: 19/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... travers son boxer est plus intéressant, un instant surpris de mon geste, c’est lui qui avance sa bouche pour que l’on s’embrasse.
    
    Je suis profondément touché par ce geste, même s’il est contraire à la déontologie de la maison, j'avais très peur qu’il se serve de sa No limite pour me baiser comme une simple prostituée.
    
    Ce baisé me lave de toutes les salissures subies depuis que j’ai cédé à Hugo, il avance sa bouche vers mon oreille et me susurre.
    
    • Léa, je n’ai pas touché et encore moins embrassé une femme depuis le décès de Pascale, je ne te ferais pas l’amour aujourd’hui, nous allons rester soudés l’un à l’autre jusqu’à ce que je sois obligé de te quitter.
    
    • Demain, je te ferai l'amour, Léa veux-tu m’épouser, ce sera ma femme que je pénétrerais et non pas la femme obligée de vendre son corps.
    
    Quand j’ouvre mes yeux sous ses baisers, il est l’heure de descendre, j’ai du mal à le laisser partir.
    
    Dès que tous sont partis, toutes les filles viennent vers moi et je n’échappe pas à leurs quolibets.
    
    • Agréable ton fiancé.
    
    • Il doit t’avoir dans la peau pour te garder pendant deux heures.
    
    • Comment baise-il, tu pourras me le prêter s’il revient.
    
    • Stop, les filles, il est sympa, mais en ce qui concerne le sexe, j’ai tout fait toute seule, j’avais l’impression d’avoir un puceau dans ma couche, si vous trouvez drôle de dire que c’est mon fiancé, tant qu’il met des jetons noirs dans ma boîte, vos états d’âme, je m’en fiche.
    
    Je suis contente de ma ...
    ... tirade, quand Lucas reviendra, je lui demanderais de payer deux ou trois bouteilles de champagne, à toutes les filles, il s’en fera des alliés.
    
    Après avoir compté nos boîtes, nous retournons dans les chambres.
    
    Marjorie m’entraîne dans sa chambre, je vois à ses yeux pétillant qu’elle est heureuse et veut m’annoncer quelque chose.
    
    • Léa, j’ai rencontré quelqu’un.
    
    • Qui ?
    
    • Un homme bien sûr, j’aime bien vos chattes, mais je préfère le sexe d’un homme bien viril.
    
    • Où, là tu rencontrée ?
    
    • Dans un parc, j’ai remarqué qu’il me suivait, j’ai voulu voir, comment il était, j’ai ralenti et quand je les sentis sur mes talons, j’ai brusquement fait demi-tour.
    
    • Les cinq secondes où je l’ai vu, il m’a conquis juste par son regard, j’ai fait de deux ou trois mètres et je me suis étalé de tout mon long, regarde, mon genou saignait.
    
    Je lui prends la jambe et j’embrasse là où elle s’est fait mal, je n’ai pas le temps de continuer qu’un grand bruit fait vibrer la maison.
    
    En moins de deux minutes, je me retrouve sur mon lit le poids d’un homme sur le dos, la pression se relâche et l’on me demande de m’habiller, il en est de même pour Marjorie, des menottes nous sont placées les mains devant nous.
    
    • Descendez toutes !
    
    L’ordre a claqué comme un coup de fusil, quand nous arrivons en bas, j’ai la surprise de voir avec des menottes, Pierre, Hugo, Olga, Maman, mon beau-père, ma belle-mère, les deux bouledogues, la barmaid et le jeune homme qui m’a emmené avec sa ...