Lectures érotiques (22). John Flaherty-Cox : « Alicia » (Editions Blanche, 2007)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... fouillait. (…) Je savais que sous la langue experte de Diane, elle ne tarderait pas à jouir. Pétunia releva son bassin, s’accrocha une dernière fois à mes épaules puis poussa un grand cri, elle jouissait. »
• Alicia et Mina (Chapitre 16)
Nous avons rencontré dans « Etienne » Mina, jeune Ivoirienne qui fut la maîtresse commune de Diane et de son compagnon.
De passage à New-York, elle va s’offrir aux caresses de l’insatiable Alicia.
« Je fus surprise par l’intensité de son premier baiser. (…) Elle s’allongea sur moi, frotta son sexe sur le mien comme si elle avait voulu le pénétrer, puis plongea sa langue dans ma bouche. J’ai répondu à son baiser avec la même fougue et j’ai avalé sa langue en l’aspirant jusqu’à lui faire mal. En même temps, je griffais son dos et la serrais dans mes bras le plus fort que je pouvais. Voyant que je réagissais si bien à son emportement, elle caressa mes seins tout en les mordillant, en les palpant jusqu’à les faire trembler. Je n’avais jamais fait l’amour de cette manière avec une femme, c’était bestial, joyeux, violent et tendre en même temps. »
• C’est beau deux femmes qui s’aiment (Chapitre 17)
Bisexuelle depuis mon adolescence, je ne résiste pas au plaisir de reproduire cette magnifique scène d’amour entre Alicia et Pétunia, que j’ai lue à Agun, ma chérie, pendant qu’elle était affairée entre mes cuisses. Ce fut un moment torride, le texte du romancier accompagnant la montée inexorable de mon plaisir.
« Nos bouches se ...
... sont soudées dans un long baiser sensuel et tendre. Contre ma poitrine, je sentais ses seins devenir durs et remplir son corsage, provoquant en moi une envie que je ne pouvais plus contrôler. J’ai détaché un à un les boutons qui faisaient obstacle et j’ai commencé à les caresser (…) J’ai pris un de ses seins dans ma bouche et l’ai léché, tété. (…) Elle m’offrit sa bouche et glissa sa langue dans la mienne aussitôt. Ce baiser fut passionné et violent, nos langues emmêlées se repoussaient l’une et l’autre, aucune ne voulant céder un pouce de terrain. (…)
Pétunia s’allongea sur la table, ôta son string et écarta les cuisses. Son sexe était humide et brillant, je l’ai léché un moment, puis j’y ai glissé ma langue jusqu’à ce qu’elle en atteigne le fond. Elle poussa un petit cri, releva son bassin et serra ma tête entre ses cuisses. Prise dans cet étau, j’étais condamnée à la faire jouir. Elle ne résista pas très longtemps à ma langue, ni aux dents qui mordaient son clitoris, ni à mes doigts que je glissais de temps en temps à côté de ma langue. Elle fut très vite agitée de soubresauts et, tenant ma tête entre ses mains, elle s’enfonça une dernière fois et jouit en criant qu’elle m’aimait. Lorsqu’elle desserra ses cuisses, j’étais au bord de l’asphyxie. (…°
Cette nuit-là, nous nous sommes aimées intensément, dans une profondeur inhabituelle, laissant nos émotions guider nos caresses et nos baisers. Elle m’a fait jouir elle aussi, d’une très jolie manière, en me gardant dans ses ...