Ma cousine France-Agnès (03) - Histoires de Sexe

Ma cousine France-Agnès (03)

... haut…

— Lucien, tu vois, maintenant je t’exhibe complètement mes seins… Comment les trouves-tu ?
— France-Agnès, quelle superbe poitrine tu as !… J’attendais ce moment avec une telle impatience depuis ce matin, j’avais peur que tu n’oses pas aller jusqu’à me montrer entièrement tes jolis seins… Comme ils sont beaux avec leurs tétons qui pointent !…
— Tu aimes mes nichons ? Regarde donc comme ils sont bien gros, bien fermes et bien dressés…

Elle se mit légèrement de profil en tendant le buste en avant pour mieux me les faire voir, tandis que tenant son soutien-gorge d’une main, elle le balançait légèrement, les bonnets encore tièdes venant caresser mon visage… Elle le lâcha et il vint se poser sur mes mains, avec plaisir je sentais la rondeur des bonnets doux et chauds. Elle prit alors ses aréoles entre ses doigts et les serra en les faisant tournant légèrement les mains, elles devinrent si grosses qu’elles ressemblaient à un deuxième sein bien plus petit, placé en bout de ses gros nichons.

— Regarde mes bouts Lucien, ils sont tout boursouflés. Tu ne trouves pas que j’ai des nichons de petite putain ?
— En tous cas, ils sont vraiment magnifiques et tes tétons dressés sur les bouts gonflés de tes seins sont très excitants, insolents, presque indécents.
— C’est vrai j’ai des seins qui sont franchement très excitants avec leurs gros tétons et je suis vraiment très heureuse d’avoir une poitrine comme celle des petites putains…

Visiblement elle était très fière de ...

... sa superbe poitrine et elle pouvait réellement en être satisfaite, mais je remarquais surtout qu’elle insistait vraiment pour se comparer à une putain. Elle fit un pas en arrière, les seins tendus, elle les fit se balancer en mesure en cambrant son torse, elle attrapa alors l’élastique de son slip de chaque côté de la taille, je m’attendais bien sûr à ce qu’elle baisse sa culotte, mais quelle ne fut pas ma surprise de constater que, tout au contraire, elle la tirait très fort vers le haut. Le tissu en se tendant fit gonfler les lèvres de sa chatte qui s’échappèrent de chaque côté du slip avec de grosses touffes de poils. J’étais subjugué par tout ce que France-Agnès me faisait voir…

— Lucien, tu as su m’exciter terriblement ce matin, et tout à l’heure tu m’as fait mouiller comme encore rarement cela m’était arrivé. Maintenant, j’ai vraiment envie de te faire bander mais surtout de voir ta queue entièrement décalottée, raide et tendue… Cela me fait jouir encore plus de savoir que c’est moi qui te fais bander ainsi et bien sûr ça me donne envie d’en faire encore plus… Tu sais, jamais encore je n’avais osé faire ce que je fais devant toi depuis ce matin. Bien sûr, j’aime parfois être un peu provocante mais j’ose tout juste montrer un court instant une partie de ma petite culotte en croisant les jambes par exemple, ou bien la forme de mes seins avec des chemisiers transparents. Pourtant j’avais réellement le fantasme de m’exhiber sans aucune retenue, de prendre les poses les ...