Ma cousine France-Agnès (03)
Datte: 23/06/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
Inceste / Tabou
poilu(e)s,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
Auteur: Lucien, Source: Revebebe
... tant elle désirait ardemment ce moment. Sa main tenait ma verge bien verticale, elle frotta une ou deux fois ses lèvres ouvertes et trempées sur mon gland violacé et luisant, alors, d’un geste résolu, elle s’empala sur ma bite en poussant un hurlement de jouissance. Son mouvement avait été si puissant que ma verge s’enfonça d’un seul coup dans son fourreau chaud et resserré et le gland vint cogner violemment au fond de son vagin. Je ne pus, moi non plus, retenir un cri de volupté.
Le mouvement avait été si soudain, si rapide et si brutal que je n’avais rien senti de la douceur de son étroit conduit bien lubrifié. France-Agnès après s’être pénétrée avec force pour atteindre un plaisir immédiat et presque bestial se soulevait maintenant avec lenteur pour bien savourer ma queue se frottant dans sa moule… Moi aussi je sentais son fourreau chaud, étriqué et doux comme du miel qui enserrait ma bite et les yeux arrondis par la jouissance je laissais ma cousine limer avec passion… À chaque fois, elle se laissait retomber avec force, mais elle remontait très lentement en rentrant le ventre ce qui resserrait encore plus sa chatte autour de ma bite et j’avais l’impression qu’elle me la suçait avec sa moule. Ses seins pleins aux tétons dressés dansaient devant mes yeux. Instinctivement, je les pris à pleines mains, j’en sentais la rondeur ferme et je les pressais avec fermeté…
— Oui Lucien… Pelote-moi les nichons pendant que je me branle la chatte avec ta grosse bite bien ...
... raide…
France-Agnès était maintenant complètement emportée et inconsciente, elle ne désirait plus qu’une seule chose : jouir. Jouir jusqu’à l’évanouissement, sans aucune retenue… Elle se soulevait lentement tout en creusant son ventre et en ondulant pour mieux apprécier ma verge qui sortait presque de sa chatte. Puis, penchée en avant, elle se laissait brusquement retomber pour s’empaler complètement sur ma queue. Ses seins s’écrasaient dans mes mains et je les pressais violemment. Elle hurlait maintenant de jouissance et de plaisir, ses mouvements devenaient de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Elle devenait comme hystérique, elle s’empalait avec vigueur, cherchant à se faire pénétrer le plus fort et le plus profondément possible…
— Lucien, c’est bon… Je vais jouir… Je vais jouir jusqu’à l’orgasme…
Elle allait maintenant de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle hurlait, les yeux révulsés. Soudain, dans un hurlement encore plus fort et plus long elle fondit littéralement, la mouille abondante dégoulinant le long de ma bite et de ses cuisses… France-Agnès m’avait tellement pompé en me taillant une pipe et en me branlant ensuite vigoureusement que mes bourses n’étaient pas encore remplies et je ne pus décharger en même tant qu’elle, par contre je bandais encore comme un cerf.
— Lucien, c’était merveilleux, je suis épuisée et complètement vidée, mais j’en veux encore, je te veux… Maintenant viens sur moi, c’est à toi de me baiser, de me sauter comme ...