Un ascenseur nommé désir - Histoires de Sexe

Un ascenseur nommé désir

... moi. Elle m’a lancé d’un air provocant :

— C’est ça, chauffe-nous un peu. Tu veux aussi jouer avec moi ? Prends ma tête, s’il te plaît.

Elle m’a posé dans sa bouche et elle a fermé les yeux quand j’ai calé sa tête dans les paumes de mes mains. Je l’ai enveloppée comme si j’avais voulu la forcer à m’avaler. Mais je l’ai laissée faire tout ce qu’elle voulait. Je me suis efforcé à rester attentif à ses mouvements pour les amplifier. Je l’attirais vers moi quand je sentais qu’elle essayait de m’enfoncer un peu plus, jusqu’à sentir parfois mon gland se comprimer au fond de sa bouche. Pour faire mine ensuite de me retirer complètement. Pour qu’elle soit presque obligée de s’agripper à mes hanches ou bien de m’aspirer en tendant le cou pour me garder dans sa bouche. Ça m’excitait comme un hardeur amateur. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de railler :

— Attention tu vas la perdre !

Elle m’a avalé de plus belle en me lançant un coup d’œil agressif et elle a fait mine de me mordre en pleine verge. J’ai menacé :

— Ah ! Non ! Pas ça. Sinon je te donne des claques.

Elle a haussé les épaules, elle s’est arrêtée pour me tirer la langue et elle m’a répondu :

— Ça m’étonnerait : tu serais trop content que je te morde vraiment. Mais je ne le ferais pas, sinon demain on y sera encore.
— Tu as peut-être raison. Mais ce que tu me fais, c’est bien aussi : j’aime bien quand tu aspires. Tu peux me sucer encore un peu ?
— Tu crois que j’aime ça ?
— Ça se voit bien…

Elle ...

... m’a masturbé avec deux doigts en anneau autour de la hampe, tout près de la base de mon sexe et elle m’a littéralement tété : ses lèvres enserraient ma verge et les succions qu’elle m’a infligées creusaient ses joues. Cette vision a fait remonter mes fantasmes d’Asiatiques en manque de viagra : j’ai eu soudain l’impression que ces coups de pompe gonflaient mon pénis pour lui donner une taille à faire pâlir Rocco (le vrai) et que, du coup, Tina avait du mal à me rentrer dans sa bouche. Il n’en était évidemment rien. Mais j’étais tellement tendu que j’avais l’impression que la peau de ma queue n’allait pas tenir : mon gland brillait comme la lame d’un braquemart de troll. Elle m’a ressorti pour lécher tout le dessous de ma verge jusqu’à mes bourses posées sur sa main. Puis elle m’a dit :

— Maintenant, tu me laisses faire.

Je l’ai lâchée et elle s’est mise à me masturber vigoureusement, le gland posé sur sa langue. Puis elle l’a léché, comme pour l’inviter à lui offrir ce qu’elle voulait. Elle a passé un moment à me secouer, la main généreusement crispée de tous ses doigts sur ma hampe. Elle me surveillait sans cesse, alternant les coups d’œil vers mon visage et vers le méat de mon gland. Quand elle a senti que je n’allais plus supporter longtemps sa torture, elle m’a ré-embouché, en me suçant à nouveau comme une gourmande, la main toujours serrée sur ma verge. Elle pouffait d’un petit rire étouffé en me regardant haleter. Ses yeux pétillaient de malice et ses fossettes, ...