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Un ascenseur nommé désir
Datte: 22/06/2020, Catégories: fh, inconnu, voisins, parking, ascenseur, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral préservati, pénétratio, jeu, sm, attache, Humour Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe
... saisir ma tête. J’ai hésité : le violeur devait-il encore l’en empêcher ? J’ai égoïstement préféré la laisser faire… J’ai quand même pétri un peu ses seins pour la forme… Ou peut-être pour leurs formes ? J’ai saisi ses poignets et j’ai étiré ses bras loin d’elle, pour cambrer sa poitrine et pour emboucher comme un gourmand ses seins fièrement offerts, perdus dans le flou irréel de son chemisier rouge. En me regardant faire, elle souriait en léchant ses babines de petit chaperon. Sa respiration s’alourdissait : le loup allait-il la manger ? Il allait, oui : je me suis décollé d’elle et j’ai déroulé sur mon pénis un préservatif que j’avais sorti de ma poche. Elle se masturbait en me regardant faire. Elle a rapproché ses reins au plus près du bord du capot et elle m’a laissé entrer en elle. Elle m’a caressé le ventre et la poitrine comme pour me remercier d’accepter son offrande. Je me suis mis à onduler, à la pénétrer. C’était terriblement fort : elle était serrée à couper le souffle. J’avais l’impression de sentir la compression de ma verge tout entière monter jusque derrière mes oreilles. Elle avait remis les bras par-dessus sa tête. Elle l’agitait maintenant dans tous les sens en me jetant de temps à autre des regards affolés en se mordant les lèvres. J’étais un peu inquiet : son sourire était parfois agité de torsions, de grimaces qui me choquaient et qui me faisaient mal, malgré les efforts que je faisais pour ralentir et contenir mon envie d’elle. Elle a posé sa ...
... main sur mon ventre pour me retenir et elle a gémi : — Doucement, tu es gros. J’ai enfin compris : ses envies contractaient son vagin et la rendaient presque trop étroite pour moi. C’est beau les fantasmes : elle devait rêver qu’elle se faisait torpiller par un gros sous-marin. Et franchement, il n’y avait pas de quoi : mes anciennes copines ne m’ont jamais trouvé aussi impressionnant que cela. C’est fou ce que l’imagination a comme effet loupe sur quelque chose qui n’a finalement pas plus de muscles qu’une asperge. J’ai eu envie de la remercier : j’ai le nerf de l’autosatisfaction sensible. Mes états d’âme avaient eu le mérite de me faire débander un peu : je ne lui faisais plus mal. Je suis tout de même sorti d’elle pour soigner les meurtrissures de son sexe : à grands coups de langue, mes deux mains sous ses fesses, comme pour boire une coupe de champagne. J’avais encore trop envie de me saouler d’elle. J’ai aimé son goût de femme et le moelleux délicat de son petit bourgeon trop sensible : elle a soupiré à chaque fois que ma langue glissait dessus. J’ai adoré blottir mes lèvres entre les lèvres de son sexe, juste au-dessus de l’entrée de son vagin. Ça me permettait aussi de jouer au serpent juste en sortant la langue pour qu’elle s’enfonce en elle. J’en ai profité pour l’explorer un peu avec un doigt, pour continuer à la détendre. Elle m’a bien aidé : elle essayait de poser les pieds au sol pour remonter son pubis vers ma main. Ça faisait ressortir la beauté ...