1. Le Resort (10)


    Datte: 22/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... était trouée au niveau des mamelons, laissant dépasser des tétons transpercés chacun d’un anneau doré de 3 centimètres.
    
    Cheveux courts et glauques, multiples piercings aux oreilles et aux sourcils. Un petit anneau à la commissure des lèvres. Sous des joues creuses, un sourire diabolique qui me fit deviner, derrière des dents ternes, une perle noire épinglée sur la langue. Ce qui me frappait le plus, c’était ces yeux, dont la prunelle semblait passer du noir au rouge vif selon ses expressions.
    
    Avant que j’aie pu me remettre de ma surprise, la jeune femme s’adressa de nouveau à moi, du haut de ses 190 centimètres. D’une voix aussi séduisante qu’autoritaire :
    
    « Je te souhaite la bienvenue dans mon sanctuaire ! »
    
    S’adressant à mon escorte de droite :
    
    « Vous avez son mouchard, Roger ?
    
    — Oui, madame Evnika.
    
    — Faites-le analyser immédiatement !
    
    — Bien, Madame ! »
    
    La grande glauque se tourna de nouveau vers moi, arborant l’arrogante assurance du début de la trentaine :
    
    « Tu es mon invité spécial aujourd’hui, 622. Je t’ai fait venir afin que tu participes à la cérémonie de partage que je vais tenir avec mes filles. Comme tu as peut-être déjà constaté, je suis ici entourée de mon harem, des filles belles et soumises, que j’ai triées sur le volet. »
    
    Son expression changea rapidement, alors qu’elle m’empoigna le menton, me faisant voir des ongles longs et noirs :
    
    « Mais il y a une autre raison à ta présence ici, petit conard ! Depuis ton arrivée ici, ...
    ... des signaux perturbant nos systèmes de surveillance ont été détectés chez toi ! Une vitalité et une énergie exceptionnelles semblent émaner de toi, d’après les lectures transmises par ton mouchard ! »
    
    Au même moment, Roger revenait donner son rapport :
    
    « Tous les capteurs ont été vérifiés, madame Evnika : aucune fausse lecture, l’appareil était parfaitement calibré.
    
    — C’est bien ce que pensais, répondit la Grande. S’adressant à mes deux gardes : Installez-le sur le chevalet ! »
    
    Mes pieds touchèrent à peine le sol lorsqu’on m’amena au pied d’un sinistre montage : une sorte de croix faite de madriers de bois, avec, à la mi-hauteur, une petite tablette sur laquelle était fixé debout un cylindre au bout arrondi et mesurant environ 15 centimètres de long sur 3 centimètres de diamètre. Reliée à un circuit électrique, cette pièce métallique était en réalité une électrode.
    
    Rapidement déculotté et maintenant complètement nu, on me fit adosser à la structure.
    
    « Pas de gel, Madame ? demanda le garde Jean-Moïse.
    
    — Je vois que tu veux lui éviter trop de souffrances, fit-elle à l’Haïtien. Je te l’accorde. Graisse-lui le trou avec de l’électrolyte. »
    
    Des doigts velus m’enduisirent l’anus de lubrifiant, puis je me fis brusquement empaler sur le cylindre dur et froid, m’occasionnant un désagréable spasme sphinctérien. Bien assis sur la tablette, on m’enchaîna les bras en croix sur le madrier. Le Noir s’approcha discrètement de mon oreille et me regarda dans les yeux ...
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