Je la gagne au poker (3)
Datte: 22/06/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Désolation, Source: Xstory
... baiser, je n’étais restrictif sur rien. Je voulais juste assouvir cette pulsion viscérale qui m’habitait.
Je les prenais par-derrière, en levrette. Toujours. Je prenais leur hanche et les bombardais, sans relâche quitte à me faire mal et à leur faire mal. Je couchais avec des filles sans identité, assez neutre pour que je puisse glisser sur elle, le masque innocent de ma petite sœur Eléanore. Je les prenais dans cette position pour ne pas voir leurs yeux scrutateurs me regarder et me déstabiliser. Leurs pupilles me faisaient sortir de mon fantasme. Je ne voulais que des coquilles vides que je puisse allégrement baiser en pensant à Eléanore. Or, leur regard avait quelque chose d’unique, quelque chose qui les faisait sortir du rôle.
J’aimais imaginer que ma queue rentrait dans la douce chatte de ma petite sœur en levrette, la position de soumission ultime. J’aimais imaginer que mon gland écartait ses lèvres et la pénétrait dans un acte sexuel aussi amoral que légendaire. J’adorais lui attraper ses cheveux et lui défourailler son arrière-train, qu’elle jubile de la queue incestueuse de son grand frère. Je sentis plusieurs fois que j’allais venir, mais avec l’augmentation du rythme, les demoiselles se mirent à gémir. Cassant mon délire. Leur gémissement n’était pas celui de ma sœur, du moins pas celui que j’imaginais de sa part.
Eléanore, ma petite sœur était devenue mon unique obsession et me transformait en monstre. J’étais comme un drogué, besoin d’un scénario ...
... érotique avec sa sœur pour pouvoir venir et éjaculer. J’avais trouvé quelque jour auparavant, un nouveau moyen de contenter l’appétit de l’ogre qui grandissait. Une idée apparut au hasard et qui semblait convenir à ma monstruosité.
J’avais rencontré une fille dans un bar, elle s’appelait Caroline, elle n’avait aucune ressemblance avec ma sœur, mais avait les mêmes cheveux. Des cheveux bruns et lisses, comme imperturbables et calmes. Après lui avoir payé quelques verres, elle m’avait invité chez elle. Sur le chemin, elle me faisait un monologue sur à quel point c’était une fille sérieuse et respectable. Peu m’importait ce qu’elle croyait, j’avais une faim à assouvir et je ne forçais personne à quoi que ce soit.
Lorsque nous sommes arrivés chez elle, elle voulut prendre un verre. Je n’avais guère envie de parler. Seule comptait ma dose de shoot. Nous allâmes dans sa chambre et commencions à nous chauffer. Lorsque ma main se dirigea vers sa culotte elle me chuchota:
— Par contre, il ne faut pas faire trop de bruit, mes parents dorment juste à côté!
Je lui répondis d’un sourire, cela signifiait qu’elle ne braillerait pas, et que je pourrais la besogner sans l’entendre gémir. Elle insista pour le missionnaire, j’acceptai me disant que je la prendrais en levrette après quelques minutes. Je la pénétrais tandis qu’elle rabattit la couette sur nos corps, plongeant notre acte sexuel dans la pénombre la plus totale. Je jubilais à cette idée. Pas de gémissement ni de visage. Un ...