-
Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)
Datte: 22/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... bon train et les garçons débarrassaient les assiettes à tour de rôle. Puis en prenant le dessert, elle s’anima sur l’esprit germanique. — Les Allemands sont les Allemands, ils connaissent tout ! S’emporta mon père. — Enfin Michel tu fais une caricature de ce peuple, la guerre est finie. C’est agaçant ce que tu dis ! Répliqua ma mère. — Ne vous fâchez pas allons ! Alors Oscar et Jules, vous êtes contents d’avoir retrouvé votre Papa ? Demanda leur grand-mère pour calmer le jeu. — Oui mais c’est Christine que j’aime pas, elle est méchante avec Maman et puis elle arrête pas de dire du mal de Patrick, je suis sûr qu’elle est jalouse de Maman. Raconta-t-il sous nos yeux penauds. — Pourquoi serait-elle jalouse de ta Maman ? Intervint ma mère bien intriguée par cette remarque pertinente du petit bonhomme. — Oh je sais pas ! Mais je l’aime pas ! Man ? on peut se lever de table et aller jouer ? En quittant déjà la table. — Oui allez-y. — Mais Véro, que voulait-il dire à propos de Christine qui serait jalouse de toi par rapport à Patrick ? J’avoue que je ne comprends pas tellement. S’interrogea-ma mère. — Je crois que Patrick a tapé dans l’œil de Christine et quand elle nous a vus arriver ensemble, ça l’a rendue jalouse de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais elle s’est mise dans un état en me disant que j’avais de la chance d’avoir un neveu attentionné et puis je ne la connais pas beaucoup, enfin ils ont l’air de bien s’entendre avec mon ex, Jacques. ...
... Enchaîna-t-elle habilement en manipulant son rond de serviette. — Mais elle a fait des avances à Patrick ? Insista ma mère lourdement. — Oh Anne je t’en prie, arrête tout de suite avec ça ! Je suis allée diner chez Jacques qui a insisté et Oscar lui a demandé si Patrick pouvait venir pour que je ne rentre pas seule. Du coup nous sommes venus et voilà la fin de l’histoire, je ne pensais qu’elle en parlerait encore aux garçons. Poursuivit-elle néanmoins. — Bon sur ces belles paroles, j’amène les cafés ! M’exclamai-je pour clore ce sujet sans intérêt. Ma mère et ma tante débarrassèrent la table tandis que j’amenais les tasses à l’extérieur. J’entendis Véro fournir encore quelques détails sur le physique de cette fameuse Christine. J’en déduisis que le sujet n’était pas clos et quand ma tante prit place en face de moi, elle me jeta un regard inquiet et me demanda une cigarette. Ma mère n’en manqua pas une ce jour-là. Elle lui fit remarquer que la cigarette était nocive. Ma tante se mit dans une colère noire, estimant qu’elle n’avait pas être jugée et qu’elle avait passé l’âge pour ce genre de commentaire. L’incident fut clos mais elles ne s’adressèrent plus la parole de l’après-midi. Ma grand-mère tenta de les réconcilier, en vain. Ce ne fut qu’au moment de la ramener chez elle qu’elles firent enfin un effort devant leur propre mère. Au retour, Mamie se désola d’une telle journée. Elle les avait trouvées stupides et s’enquit néanmoins auprès de moi de mes ...