1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)


    Datte: 22/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... frisant la frénésie.
    
    — Vero je t’aime, c’est tellement fou. En grognant à mon tour ma jouissance en elle sans me soucier des blessures qu’elle m’infligeait.
    
    — Hannn Patrick…je t’aime…hannn mon Patrick…hannnnnn… Gémit-elle à n’en plus finir.
    
    — Oh oui…viens ma belle ! Lui ordonnai-je en plaquant mon pubis contre le sien durant quelques secondes de pure jouissance en elle.
    
    — Hannn….j’en peux plus…je…hannn…hannn… Haleta-t-elle en lui administrant l’estocade finale, afin de l’entendre gémir pour agoniser dans un soulagement mérité.
    
    Repue de bien-être, elle ne résista pas au plaisir gourmand de me laisser la limer.
    
    J’adorais, le mot restant faible, continuer de la baiser en entrant désormais paresseusement dans sa source devenue confortable. Véro me fixait avec un regard bien éloigné de celui d’une tante envers son neveu, elle avait ni plus ni moins celui d’une femme tombée dans l’amour de son propre neveu. Nous étions dans un moment à part, au cours duquel nous savourions l’un et l’autre notre accouplement incestueux, nous savourions les va et vient de mon sexe se frottant à ses parois vaginales. Nous avions une attirance tellement incroyable l’un pour l’autre, que Véro se sentit presque honteuse d’éprouver autant de plaisir à se laisser baiser par le fils de sa propre sœur.
    
    — Je vois que tu en profites ! Tu l’aimes ta Tatie. Murmura-t-elle pour se déculpabiliser.
    
    — Et je crois qu’elle n’est pas insensible à ce que je lui fais. Lui rétorquai-je en ...
    ... maintenant des allers-retours presque flâneurs dans sa fente désormais domestiquée.
    
    — Oui…embrasse-moi. M’ordonna-t-elle m’avouant indirectement son plaisir dans cet acte incestueux.
    
    Je lui roulai une pelle suivant ses ordres, mais dame nature reprit ses droits et peu à peu, sans vraiment me trahir, mon sexe montra des signes irrésistibles de faiblesses. Il se retira progressivement de ce nid si douillet, devenu presque laiteux.
    
    Nous respirions comme des damnés, comme les damnés du sexe que nous fûmes ce soir-là. Nous avions mis de côté le département tendresses de côté et la région romantique s’étant du coup fait la malle, l’état érotico-sexuel avait régné en maître durant notre étreinte.
    
    Lessivé, je pris congé de son corps sous les yeux attendris de ma belle quadra comblée. Resplendissante avec ses cheveux en batailles et ses seins devenus arrogants, elle se mit assise à mes côtés au bord du lit.
    
    — Mais Patrick, je t’ai griffé de partout ! S’étonna-t-elle en effleurant mon dos meurtri.
    
    — Ce ne sont que des marques d’amour, ne t’inquiète pas et c’est plutôt flatteur ! Lui dis-je en portant ma main à la base de son sein pour effleurer sa pointe tendue.
    
    — Tu me fais rire ! …Excuse-moi et ne te montre pas torse nu demain matin devant ta mère, mais qu’est-ce que je t’ai fait ! Ooh tu dois me prendre une folle… En posant sa tête sur mon épaule.
    
    — C’est rien, bon je vais y aller. En me mettant debout pour enfiler mon boxer.
    
    — Comme tu peux me rendre heureuse, tu ...
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