1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)


    Datte: 22/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... bleutée.
    
    Véronique était foutrement bien foutue et de là à la comparer à une déesse venue de Grèce, le pas fut franchi allègrement.
    
    Malgré sa position avec le pied posé sur le lit, créant une sorte de confusion entre sensualité et érotisme, ma tante accepta de bonne grâce de se prêter au jeu. Tout en pelotant la base de chacune de ses fesses, je lapai lentement sa rivière à diamants, lesquelles commencèrent très vite à s’écouler sous sa respiration devenue intense.
    
    Dans cette chambre remplies de souvenirs d’ado pubère, j’avais fait abstraction de la notion de temps en dégustant la petite sœur de ma mère. Sûr de mon fait, je léchai son sexe amoureusement qui me le rendit bien. Sa fontaine était en marche, Véronique mouillait de tout son bas ventre, elle me caressait les cheveux en laissant échapper de longs soupirs et de petits cris presque inaudibles.
    
    Connaissant par avance ses désirs, la pointe de ma langue vint cajoler les parois tendres de sa fente pour s’y introduire. Véro en stoppa ses caresses pour plaquer sa main au sommet de mon crâne, comme pour se tenir à moi. Sa seconde main chercha la mienne pour l’empoigner, puis l’emmena à hauteur d’un de ses seins.
    
    Je sentis son corps se raidir, tandis qu’elle me broya littéralement les phalanges dans une jouissance peu commune. Elle ne put s’empêcher d’émettre de petits cris aigus sous la virtuosité de ma langue, tantôt joueuse, tantôt studieuse, en se muant en un métronome diabolique d’efficacité. Mais c’en ...
    ... fut de trop pour elle.
    
    — Hannn…Pa…Patrick il faut que je m’allonge. Bredouilla-t-elle en reposant son pied pour s’étaler sur les draps défaits.
    
    J’en profitai pour soulager mon sexe en me débarrassant de mon boxer, le tout sous le regard admiratif de ma grande blonde, laquelle en avait la respiration haletante en tentant de reprendre son souffle.
    
    Elle gonflait sa poitrine pour la laisser retomber faisant apparaître ses cotes sous son ventre détendu. Certes je l’avais déjà baisée mais la voir ainsi étendue, entièrement nue sur mon lit me semblait irréel. Mon pote le réverbère me rappela à mes lointains souvenirs, ceux-là même quand je m’imaginais rejoindre ma tante dans la chambre d’amis, mon fantasme absolu. En fait, le fantasme absolu était devenu réalité, là, sous mes yeux.
    
    Ma belle femelle mûre se tortilla, caressa le haut de ses seins puis replia ses jambes en les conservant l’une contre l’autre pour me chuchoter des remords inopinés.
    
    — Ca m’ennuie de me retrouve toute nue dans ton lit, quand je pense qu’on avait dit qu’on ne ferait rien. C’est de ma faute tout ça. M’avoua-t-elle tandis que je m’installais face à elle, les mains posées sur mes genoux avec mon sexe en ébullition.
    
    — Oui enfin non, tu ne peux pas dire ça Véronique… Ouvre tes jambes que puisse admirer ta jolie chatte. Lui suggérai-je sans la toucher et en employant dûment un terme peu distingué.
    
    — J’ai un sexe…enfin une chatte comme tu aimes le dire, tout à fait normale et je ne sais pas ce ...
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