Les minettes du Val de Saône (3) - Histoires de Sexe

Les minettes du Val de Saône (3)

Ma nuit s’était bien mieux déroulée. Je n’avais pas eu besoin de naviguer sur je ne sais quel site porno. Je m’étais même endormi tôt, sur mon canapé, devant un film. Et le lendemain, j’étais debout tôt, et en pleine forme. D’extrême bonne humeur, je suis même allé à la supérette du coin pour y faire quelques courses. Je sifflotais. Il faisait beau, il faisait chaud. C’était le bonheur.

Noémie a sonné à ma porte vers quatorze heures. Je l’attendais cette fois en maillot de bain.

— Salut, m’a-t-elle dit en venant m’embrasser langoureusement sur la bouche.

Nous sommes allés directement dans le jardin, où elle a retiré son tee-shirt et son short, arborant le même maillot que la veille. Je l’ai regardée avec autant d’admiration tandis qu’elle rentrait dans l’eau avec toute la grâce possible, puis je l’ai rejointe.

On a continué à parler un peu de nos vies, de nos familles respectives, de nos amis, de nos projets pour l’avenir. Cette fille était vraiment intéressante, bien trop intéressante pour passer ses nuits à vandaliser des maisons et brûler des poubelles. Mais je ne lui ai pas dit les choses comme ça, histoire de laisser cet épisode derrière nous pour de bon.

On s’est aussi un peu caressés, dans un coin ensoleillé de la piscine. Sa main a glissé dans mon short pour se saisir de mon érection naissante, tandis que je passais ma main dans l’échancrure de son maillot pour aller fourrer un doigt entre ses lèvres. Je m’amusais de la voir monter doucement en ...

... pression, au fur et à mesure que j’agaçais son clitoris. Ses tétons pointaient à présent fièrement à travers le tissu synthétique du maillot. Mais c’était encore plus excitant de retirer mes doigts et de voir son visage frustré.

— Continuez, s’il vous plaît ! m’a-t-elle supplié.

— Plus tard, ai-je répondu avec un sourire, nageant à l’opposé de la piscine.

Boudeuse, elle est sortie de l’eau et s’est posée sur sa serviette. Allongée sur le dos, les jambes repliées et légèrement écartées, j’avais une vue parfaite sur le renflement de son sexe, bien moulé par le maillot de bain.

— La vue d’ici est admirable, lui ai-je dit en plaisantant.

Pour seule réponse, elle a lâché son téléphone et mis sa main entre ses cuisses pour me montrer son majeur levé. Susceptible ? Ça pouvait être drôle... J’ai nagé encore quelques minutes avant de sortir à mon tour. Trempé, je me suis mis au-dessus d’elle, dégoulinant sur son corps en train de sécher, la faisant râler. Hilare, je me suis carrément mis sur elle, et tandis qu’elle essayait faussement de se dégager, je l’embrassais à pleine bouche.

— A qui est-ce que t’écris, comme ça, depuis cinq minutes ? lui ai-je demandé.

— Jaloux ?

— Pas le moins du monde. Curieux, plutôt.

— A une copine. Elle comprend pas pourquoi on s’est presque pas vues de la semaine, normalement on se voit toute la journée, surtout pendant les vacances.

— T’as qu’à lui dire de venir.

— Vraiment ? J’osais pas vous demander...

— Si je te dis oui, tu ...