SURPRIS par sa femme
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
Anal
Mature,
Auteur: pompier37, Source: xHamster
... bite qui entrait et sortait du vagin.
Le regard de Sophie croisa le mien et sans rien dire elle ouvrit la bouche et sortit sa langue, qu’elle bougeait de gauche à droite comme un serpent. Je compris le message j’approchais ma verge que Sophie goba d’un trait.
Je failli jouir sous la caresse de cette langue experte qui montait et descendait le long de ma tige, s’arrêtait sur le gland, le léchant comme une glace, puis redescendant sur mes couilles, quelle gobait.
Les yeux fermés je savourais,
Jean : je ne tiens plus je vais jouir
Sophie (la bouche pleine) : moi auchi, je vais chouuiiiirr
Ne pouvant me retenir plus longtemps, je pris la tête de Sophie entre mes mains et je jouis dans sa gorge dans un rale de plaisir.
Au même instant, elle jouit en sentant le sperme de son mari gicler sur les parois de son vagin.
Apres quelques instants pour récupérer, nous avons glissé sur le tapis et sans parler nous sous sommes caressés et assoupis.
A mon réveille, je trouve Sophie allongée sur Jean, ils s’embrassent se caressent, rigolent. Je ne bouge pas, ils n’ont pas vu que je les observais. Très vite la situation évolue. Les baisers étaient plus profonds, plus longs. Puis Sophie replia ses jambes, passa une main entre leurs corps, libéra le sexe tendu de Jean, qui naturellement vint se placer sur son intimité. Elle se laissa retomber et s’empala sur le membre dans un soupir de plaisir.
Les yeux fermés, elle bougeait le bassin d’avant en arrière, les reins ...
... cambrés les bras au-dessus de la tête. Jean la laissait mener le jeu en lui malaxant les seins.
Je m’approchais, me relevais et me plaçais derrière Sophie, qui sursauta quand elle sentit ma présence. Je l’embrassais délicatement dans le cou, elle tourna la tête pour que nos bouches se soudent et nos langues se rencontrent. Mes mains descendaient le long de son dos, et avec mon majeur je frôlais sa raie, jusqu’aux couilles de Jean, puis je remontais. A chaque passage, j’insistais un peu plus sur sa rosette. Elle ne disait rien, elle se laissait aller, quand mon doigt la pénétra
Sophie : mais, mais que fais-tu ?
Moi : rien tu vas voir c’est super
Sophie (en voulant s’en aller) : non je ne veux pas de sodomie, c’est salle et ça fait mal
Jean : (en l’attirant sur lui pour la retenir) : comme ça tu sauras ce que nous ressentons. Vas-y Alain sautes là.
Sophie (vaincue) mais alors fais doucement
Elle était penchée en avant, Jean la bite toujours plantée dans sa chatte, écartait avec ses mains, les deux lobes de ses fesses. Elle respirait fort, elle était crispée. Jean essayait de la rassurer en lui disant des mots doux
Jean : laisses toi aller, détends toi, tu vas voir il est doux. Embrasses moi
Leurs bouches se soudèrent, j’humidifiais avec de la salive le trou vierge de Sophie, forçait un peu le passage avec mon majeur, je restais sans bouger, puis lentement je commençais par faire des mouvements circulaires pour assouplir et détendre les muscles.
Quand ...