Eden sur la Lune
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
ff,
fff,
hhh,
fffh,
fbi,
hbi,
inconnu,
Collègues / Travail
jardin,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
policier,
sf,
Auteur: Nelsonfun, Source: Revebebe
... supérieurs, ou aux écrivains de textes érotiques, ou encore à toi lecteur. Mais je m’égare.
Au lever du soleil, Christina passa les femmes en revue. Elle portait une cravache de cuir, un pantalon moulant de cuir noir ainsi qu’une veste de velours bleue entrouverte qui laissait voir ses petits seins blancs et pointus. Une centaine de femmes étaient alignées et une quinzaine de sa garde personnelle passaient avec elle. Il était impossible de savoir qui était robot et qui ne l’était pas. Myriam se tenait au centre au premier rang, seins nus et ne portant qu’une culotte comme les autres. Quand Christina passa, elle crut se voir en double et désira être à sa place. La cheftaine la remarqua et fut également décontenancée de la ressemblance.
— Tiens, une nouvelle, dit-elle en effleurant la pointe du sein de Myriam de sa cravache. Quand as-tu été prise ?
— Ce matin, madame, à l’aube.
— Comment cela,madame, on ne t’a donc rien dit, ici tout le monde m’appelle maîtresse. Mais tu ne peux pas tout savoir. Pour ta peine tu auras l’honneur d’être celle qui est choisie pour le grand sacrifice.
Sans que Myriam pût réagir, elle fut aussitôt emmenée par trois gardes dans une tente, elles lui enlevèrent sa culotte, la lavèrent, la séchèrent, lui coupèrent les cheveux ras et la parfumèrent. Quand ce fut fait, elles lui passèrent une chemise d’homme, une cravate, un costume trois-pièces de tweed et la firent sortir. La chef des femmes-robots arborait fièrement un grand sexe de ...
... plastique noir à sa taille. Le soleil tombait, éclatant, du zénith sur l’assemblée de filles assises en cercle. Christina l’appela chaleureusement :
— Viens, mon minet, tu es si jolie en garçon. Je veux te rouler une pelle.
Ce qu’elle fit en pelotant les petits seins de Myriam à travers la chemise blanche. Elle défit la cravate, retira la veste et dit :
— Viens, suce-moi les seins.
Myriam s’exécuta, cachée dans les pans de la veste de velours bleue. Elle mouillait abondamment d’être ainsi dominée. Puis la prenant aux épaules, Christina la fit mettre à genoux et présenta sa queue factice à la bouche du beau garçon. Myriam la suça langoureusement, tournant sa langue experte autour du gland, faisant un « O » de sa bouche, enfonçant loin la bite dans sa gorge tout en regardant ardemment Christina.
Celle-ci admirait le talent de suceuse de Myriam : un paradis pour les hommes. Si les femmes savaient toutes cet art, la vie serait plus belle.
— Allez, je dois te baiser maintenant !
Myriam se mit à quatre pattes, cuisses écartées, face contre le sol. Le cul relevé formait un cœur de chair. Ainsi offert, le vagin n’en fut que plus facilement pénétré par la chef des femmes-robots. Sous les coups de boutoir, la petite haletait et gémissait. Christina, tout en tenant fermement sa pine d’une main, pelotait ses propres seins de sa main gantée.
— Tu es une bonne petite, et surtout tu es bonne ! Je vais te prendre comme garde du corps.
Elle retira son harnachement et le ...