Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : Un résumé.
Datte: 21/06/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... savait que j?étais la femme qu?il lui fallait pour pouvoir assumer pleinement son fantasme.
En plus de la discrétion, nous étions convenus de ne rien nous cacher, mais d'éviter tout ce qui pourrait menacer la pérennité de notre couple, comme des liaisons durables. D'ailleurs, quand nous avons, par la suite, violé cette règle (voir récit n°17), lors de vacances avec N., puis Philippe avec Théodora, notre couple a connu sa crise la plus grave depuis notre remariage, et il reste fragilisé, même si nous avons trouvé un compromis.
Il était entendu que c'était désormais Philippe qui était l'organisateur de mes plaisirs et choisissait mes amants, les lieux, les circonstances où je pourrai donner libre cours à mon hypersexualité. Cela supposait qu'il puisse assister et, souvent, participer activement. J'avais de toute façon toujours eu plus de plaisir en sa présence que sans, parce que je ressens son immense bonheur quand il me voit jouir. Les regards que nous échangeons, les baisers, les caresses, la main qu?il me tient pendant qu'un autre homme me besogne, tout cela est exceptionnel.
Philippe est toujours le même, toujours aussi amoureux et tendre. En même temps, il a changé. Pas uniquement en tant qu'amant, plus endurant, plus performant qu'auparavant. Il a aussi compris que j'avais besoin à mes côtés d'un mâle, et depuis que nous sommes à nouveau ensemble, il se comporte ainsi, en témoigne le vocabulaire qu'il emploie désormais lors de nos étreintes. Auparavant, ...
... jamais il ne m?aurait parlé ainsi. Désormais, il me traitait de salope, de chienne, de pute, de cochonne. Il avait compris que j'aimais ça et que le meilleur moyen de consolider notre couple était de combiner son immense tendresse envers moi, mais aussi les moments où il s?affirmait comme mon mâle, sans qu'il soit cette fois besoin d'avoir recours à un autre.
Evidemment, les moments où nous pouvions pleinement laisser libre cours à notre nature étaient plus rares que sous la période précédente. Nous ne faisions plus ce genre de choses chez nous, d'autant que les filles commençaient à grandir. Heureusement, Philippe assumait parfaitement ses devoirs conjugaux et nous avions repris toutes nos pratiques sexuelles, depuis la fellation du matin, en passant par la cravache ou le fist-fucking.
Je n'en appréciais pas moins les efforts de Philippe pour satisfaire mon besoin d'autres étreintes, qui correspond parfaitement au plaisir qu'il a de me voir baiser par un ou plusieurs amants. Pour les partouzes, Philippe veille à ce qu'elles ne se déroulent pas dans la région où nous vivons désormais. Nous avons retenu la leçon du passé : pas question de tomber sur une connaissance et de remettre à nouveau en cause notre réputation.
Philippe me proposa donc ce qu'il appela notre « nouveau pacte candauliste ». Il avait couché tout ça sur un papier, qu'il me proposa de signer et de mettre dans notre coffre. C'était en quelque sorte un « contrat de mariage » très spécial, qu'aucun notaire ...