1. L'embouteillage 3


    Datte: 20/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Luc helce, Source: Hds

    ... me dira tout ce que les autres disent de moi dans mon dos !
    
    _ Oui ! Comme ça tu pourra réagir si il y en a qui sont contre toi et les mettre dans ta poche.
    
    _ Et les faire payer le moment venu !
    
    _ Oui ! Putain Sibylle ! Je vais te servir ! Je serais ton espion, ton serviteur dévoué.
    
    _ Ouais ! Et moi pour te récompenser, je te pisserais à la gueule !
    
    _ Oui !
    
    _ Ha ha ha ! Tu fantasme dur la hein ? J'ai dit en reposant ma main entre ses cuisses.
    
    Sa bite était bien dure. Je me suis exclamé :
    
    _ Ça ment pas ça ! Mon petit soumis. Mon esclave ! Peut-être bien qu'un jour je t'ordonnerais de quitter ta femme pour moi. En attendant évite de lui faire un gosse ça compliquerait les choses le moment venu. Je prend le contrôle sur ta vie ! C'est trop bon ! Et toi, pauvre idiot, tu vas vivre sous ma domination jusqu'à ce que je me lasse de toi ! Tu fera mon bonheur mais moi, je ne ferais pas le tien ! Même si tu quitte ta femme pour moi, j'irais voir ailleurs. Je baiserais avec qui je veux et toi tu sera réduit à être mon pot de chambre ! Ha ha ha !
    
    On est arrivé prés de la sortie d'autoroute. Ça circulait pas trop mal en ville. Je lui ai donné l'ordre de s'arrêter devant un guichet automatique. Il est resté dans la voiture. J'ai testé sa carte et je me suis retrouvée avec quelques billets de plus dans la poche. C'était vraiment une super sensation que de prendre conscience que je pouvais me servir à volonté. Je suis remontée dans la voiture et je lui ai rendu sa ...
    ... carte sans lui dire combien j'avais retiré. Il n'a pas posé la question et j'ai apprécié même si je sentais qu'il était super tendu à l'idée que je pouvais lui taper un gros paquet de fric. Mais, comme je lui avait dit, je ne comptait pas le dépouiller, plutôt le ponctionner régulièrement. On est arrivé dans ma rue. Il y avait beaucoup de neige mais je lui ai ordonné de me ramener jusque devant chez moi. Le quartier était calme, pas un chat dans les rues. Une fois devant ma porte. J'ai dit :
    
    _ Et la porte ? Elle va s'ouvrir toute seule ?
    
    _ Ah ! Euh ! Pardon !
    
    Il est sorti précipitamment pour m'ouvrir la portière. Voyant toute la neige dans laquelle je devais marcher avec mes converses, j'ai dit :
    
    _ Si tu était bien élevé, tu poserais ta veste par terre pour m'éviter de marcher dans la neige !
    
    Il a ouvert la porte arrière, saisi sa veste et l'a étalé sur le sol à mes pieds pendant que je récupérait ses clopes pour les faire disparaître dans mon sac à main. En sortant, j'ai piétiné sa veste en le toisant et j'ai dit :
    
    _ Désormais quand tu viendra me chercher et que tu me ramènera, tu m'ouvrira la portière !
    
    Puis voyant les quelques pas qu'il me restait à faire pour aller dans l'entrée j'ai dit :
    
    _ Je ne veux pas me mouiller les pieds ! Porte-moi !
    
    Il a voulu me saisir par la taille mais je l'ai repoussé :
    
    _ Sur ton dos ! Imbécile !
    
    Il s'est retourné et penché en avant.
    
    _Plus bas ! Encore !
    
    Il s'est penché davantage et a fléchit les genoux ...