-
Séduction délicate de la soeur de ma mère (12)
Datte: 19/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... tu attends ça, baise ta Véronique ! En se pâmant d’une joie que je ne lui connaissais pas. — Tu es ma Véronique, celle que j’attendais depuis si longtemps. En glissant ma main sous son torse pour lui pincer ses tétons durcis. — Han…Comme tu restes attentionné avec moi, fais-moi jouir comme j’aime. En se trémoussant sous les impulsions de mon sexe dont le gland repoussait sans cesse les limites de ses profondeurs. — Reste câline, docile, laisse-toi faire. En lui infligeant des coups de reins plus fermes qui claquaient contre ses fesses. — Oh ouii… Approuva-t-elle en recevant mon membre tendu lui caressant ses parois intimes à chaque passage. A chacune de mes poussées, elle contractait son sphincter me prouvant qu’elle maîtrisait la situation. Ce fut comme une sorte de jeu entre nous, jeu très jouissif puisqu’il me fallait l’exciter en pressant mes va et vient à chaque fois plus puissants, plus furieux en elle. Mais ma jolie proie lâchait peu à peu prise, ses contractions s’estompèrent pour faire place à de petits cris aigus. Véro s’ouvrait à chacun de mes passages longeant sa chair chaude et humide, sentant mon sexe avide de la combler. J’entendis son souffle saccadé puis des gémissements devenus des cris rauques, tandis que la sève montait inexorablement le long de ma verge saillante. — Oh je viens Véronique…Je viens…Lui annonçai sentant mon corps se contracter violemment. — Viens mon amour. Exhala-t-elle oubliant le sens des mots, oubliant cette scène ...
... et ses spectateurs. Nous avions transgressé tous les codes, nous étions allés au-delà de la morale. Non seulement j’entretenais des relations incestueuses avec ma tante mais de plus je la sodomisais en public et à mon grand étonnement, elle ne s’en souciait guère. Je la transperçais de bonheur par un râle puissant suivi du sien, se comparant à une sorte de cri primitif discontinu. — Oh ma Véro. Hurlai-je en contractant mon corps puissamment dans sa chair avec des spasmes frénétiques. — Han… Lâcha-t-elle envahie par mon jet brûlant au fond de son orifice vaincu. — Oh bordel c’est fantastique avec toi… En m’échouant sur son corps, vidé de ma substance répandue dans ses chairs transpirants de plaisir. — Patrick…Patrick… Geignit-elle dans une plainte languissante. — T’es ma Véro à moi…à moi… Immobile dans son corps enlaçant sa poitrine conquise. — Oui je suis à toi. Nous venions de vivre une ivresse hors limite. Ma tante allongée reprenait son souffle à mes côtés en caressant mes cuisses machinalement. La lumière de la scène se fit peu à peu absente nous signifiant la fin définitive de notre spectacle. De petits applaudissements éphémères apparurent, Véro et moi étions partagés entre un sentiment de consternation vis à vis de nous même ou une reconnaissance de notre talent. Après un bref échange de regards, la volonté de passer à autre chose prit immédiatement le pas sur nos sentiments partagés entre honte et orgueil. — Bravo ! Bravo ! S’écria ...