1. J'ai perverti la mère de mon copain (10)


    Datte: 09/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: DOMICATANA, Source: Xstory

    ... avoir apposé un baiser, elle a entrouvert les lèvres pour me permettre d’y glisser le bout de mon sexe tendu. J’ai pressé plus en avant mon bassin et elle a ouvert la bouche pour m’accueillir en elle. Je suis resté ainsi sans bouger, sentant sa langue jouer avec mon sexe enfoncé dans sa bouche. Elle, qui n’avait jamais fait ça avant de me connaître, faisait des progrès en la matière.
    
    J’ai commencé des légers va-et-vient qui ont été accompagnés de bruits de succion excitants, mais je ne voulais pas venir dans sa bouche et me réserver pour sa délicieuse matrice. Après plusieurs minutes d’un intense plaisir, en poussant des deux mains sur sa tête, je me suis dégagé de sa bouche pour ne pas jouir. Elle me regardait d’un air déçu, le regard implorant plus.
    
    Je l’ai aidée à se relever. Une fois debout elle m’a fait reculer jusqu’au bord du lit conjugal et m’a poussé en arrière dessus pour que je m’y allonge. Une fois confortablement installée sur le lit, elle s’est éloignée. Puis elle a commencé un strip-tease sexy. Je ne la croyais pas capable d’une telle chose, elle, la petite bourgeoise mariée, mère de mon copain Laurent, plutôt coincée quand nous avons commencé notre relation il y a moins d’un mois.
    
    Elle a commencé par déboutonner son chemisier blanc et en l’ouvrant j’ai pu admirer un magnifique soutien-gorge en dentelle noire, enveloppant ses superbes gros seins fermes. Elle a fait glisser son chemisier de ses épaules d’un geste très suggestif. Puis elle s’en est ...
    ... débarrassée en le jetant négligemment sur le dossier d’une chaise qui se trouvait là. Elle se tenait maintenant debout en soutien-gorge et jupe, l’air mutine.
    
    Puis ses mains sont passées dans son dos et j’ai entendu le bruit d’un zip qui coulissait, et je l’ai vu faire glisser lentement la jupe le long de ses hanches généreuses. Et là, n’en croyant pas mes yeux, j’ai pu découvrir un porte-jarretelles en dentelle noire recouvrir son bas-ventre au niveau du nombril. Je ne croyais pas cette bourgeoise capable de revêtir un tel sous-vêtement.
    
    La jupe a continué à glisser vers le bas révélant le reste de son anatomie. Et elle a dévoilé la petite culotte de dentelle noire que j’avais déjà devinée quand elle était assise sur mes genoux et que ma main caressait son entrejambe. Une petite culotte brésilienne qui dégageait largement ses appétissantes cuisses sous laquelle passaient les jarretelles. Et la jupe est allée rejoindre le chemisier sur le dossier de la chaise.
    
    Elle se tenait maintenant debout devant moi, en soutien-gorge, petite culotte brésilienne, porte-jarretelles et bas noirs. Elle s’est débarrassée de ses ballerines, en mettant alternativement un pied après l’autre sur l’assise de la chaise. Une posture dès plus sexy s’offrait à mes yeux.
    
    Il me semblait reconnaître l’ensemble de lingerie que j’avais vu dans la vitrine de la boutique du centre commercial où nous étions allés faire des courses tous les deux. Je me remémorais alors la scène du retour où nous avons ...
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