De bons soins paternels (1)
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Nam-S, Source: Xstory
— Papa, je te jure que j’ai vraiment mal.
C’est comme ça qu’on peut résumer le dernier soir des vacances que je passais avec ma fille.
Nous étions installés depuis une dizaine de jours dans le sud de la France afin de profiter de l’été avant que Charlie, mon unique enfant, ne parte à l’Université. C’était aussi, pour nous, l’occasion de renouer notre relation père-fille, un peu perdue pendant son adolescence qu’elle a passée dans une pension. Charlie avait très mal réagi lors de mon divorce avec sa mère et avait préféré poursuivre sa scolarité dans un pensionnat plutôt que de vivre la garde partagée. Choix que nous avons respecté, mais je dois avouer qu’elle m’a terriblement manqué. Ainsi, lorsqu’elle m’a appelé, il y a un mois, en me proposant de partir tous les deux en vacances, je n’ai pas hésité une seule seconde.
Lorsqu’elle m’a rejoint la veille de notre départ, j’ai failli ne pas la reconnaître. J’avais laissé derrière moi une adolescente un peu timide, mal à l’aise dans son corps en développement avec un style vestimentaire un peu en dehors de la mode de l’époque. A la sortie de son train, j’ai été subjugué par la jeune femme devant moi. Elle respirait la joie de vivre et la confiance en soi. Sa robe d’été voletait au rythme de sa démarche et ses formes n’avaient plus rien d’adolescentes. De par l’épaisseur de son tissu, tout le monde pouvait deviner ses seins naturellement fermes qui attiraient tous les regards.
J’ai rapidement remis mes idées en place ...
... : je ne pouvais pas penser comme un homme face à ma fille même si elle était terriblement désirable. Nous nous sommes donc étreints avant de prendre la route pour nos vacances. Le programme n’avait pas grand-chose de très excitant pour une jeune femme, mais elle m’avait assuré qu’une maison tranquille lui convenait parfaitement, à condition d’avoir du soleil et une piscine.
Et c’est ce qu’on a fait durant notre séjour : restaurants, siestes, virées, shopping... Je faisais tout ce qu’elle souhaitait. Je voulais juste qu’elle profite à fond de notre moment avant de reprendre ses études. Et son bonheur faisait le mien, en outre elle n’était pas du tout le genre de fille à abuser avec ses demandes.
Tout se passait sans encombre jusqu’à notre dernier soir. Nous sortions d’un restaurant qui nous avait servi quelques digestifs avec beaucoup de générosité. En sortant, je sentais la chaleur de l’alcool dans mes veines. En voyant ma fille tituber sur ses semelles compensées, j’eus une pointe de culpabilisation.
— Charlie, je n’aurais pas dû te laisser boire autant.
Ma fille fut prise d’un grand rire :
— Halala papa, on a à peine bu quelques verres.
Sur ces dires, elle s’élança dans la rue en tournant sur elle-même.
— Charlie !
Mais elle ne m’écoutait déjà plus, je ne pouvais que la regarder faire la folle en sautillant un peu partout. Je m’amusais de sa bonne humeur, jusqu’à ce que je la vis glisser et tomber en poussant un petit cri.
J’accourus vers elle ...