Anique ou mon fantasme devient réalité
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
intermast,
Oral
Auteur: Iluvcurvs, Source: Revebebe
... toi qui les bouscules…
Ok, le feu était vert, déjeuner sur l’herbe fixé quelques jours plus tard.
Le soir de retour de chez des amis, où j’ai bu quelques verres, je me décide à appeler ma tendre Anique.
— Bonsoir, tu vas bien, je ne te dérange pas ! lui dis-je.
— Oh non, ça me fait plaisir que tu appelles ! répondit-elle.
Après quelques échanges sur notre soirée et journée, elle m’avoua :
— Je suis très impatiente de te voir et cela va être dur d’attendre jusqu’à la semaine prochaine. Je suis d’un naturel très impatient.
— Tu es en congé demain en plus, lui répondis-je, tu vas pouvoir profiter pleinement de ta grasse matinée.
Je conclus en lui disant : Je t’apporterai volontiers le petit déjeuner et après je file au bureau.
La réponse ne se fit pas attendre : Je t’accueillerai chez moi avec le plus grand plaisir.
Nous avons encore plaisanté pendant une heure au téléphone et finalement, le rendez-vous fut pris le lendemain matin à huit heures chez elle.
Ce qu’elle ne savait pas encore c’était que je comptais bien prendre un jour de congé moi aussi et le passer avec elle, et surtout son grand sourire et ses seins qui m’obsédaient et que je rêvais de caresser, et d’en sucer les bouts.
Je me branlai avant de m’endormir en pensant au bout de ses seins gonflés de désir et que je voulais téter sans fin.
Après quelques heures d’un sommeil relativement agité, je me suis levé pour mon rendez-vous avec ma dame.
Elle habitait dans un coin paumé de la ...
... campagne et au bout de quelques détours, je m’avouai vaincu et l’appelai :
— Bonjour, tu vas rire, je me suis perdu !
Elle partit dans un éclat de rire et me dit :
— J’adore faire le GPS et si tu veux, je peux prendre une voix chaude !
Le ton de la journée était donné.
Après quelques nouveaux détours, je suis enfin arrivé à la fermette de ma belle.
Elle m’attendait sur le pas de la porte et est venue de suite à ma rencontre.
Elle était comme je l’avais rêvée : petite, un visage rayonnant illuminé par son sourire éclatant, et surtout ses seins moulés dans un petit pull qui semblait trop étroit pour contenir ses trésors.
Je sortis de la voiture et lui rendit son sourire, nous nous sommes échangé un chaste baiser sur la joue mais sans oublier de nous serrer dans les bras, je sentis ses appâts mammaires pressés sur mon torse et elle frissonna.
Elle me précéda et je pus à loisir détailler sa croupe, large et nerveuse dont le moelleux n’avait rien à envier à celui de ses seins.
Ses hanches ondulaient devant moi mais sans exagérer, je m’imaginais déjà la besogner par derrière, accroché à ses hanches pulpeuses alors que ses seins pendaient sous son torse.
Nous sommes entrés dans sa fermette, modeste mais cossue, et peuplée de nombreux objets dédiés aux chevaux.
Il est vrai qu’obnubilé par ses seins, j’ai oublié de dire qu’Anique était une écuyère émérite, et comme elle vivait à la campagne elle possédait deux chevaux.
Nous nous sommes installés ...