Un week-end particulier (9)
Datte: 17/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: phildomi, Source: Xstory
... il faut que je rente vite à mon appartement. Aussitôt arrivée, je me caresse.
Nous avons terminé le repas et venons de prendre le café. Je propose à Manon d’aller marcher sur le chemin de halage. Elle accepte. Nous nous promenons tout en discutant. Je lui dis que mes trois femelles sont très obéissantes et que c’est un vrai plaisir de les avoir. Carole vit avec nous. Rémy, le mari d’Aurélie, a choisi de rester. J’ai accepté à la condition qu’il s’occupe de tout ce qui est administratif. En fait, je me suis aperçu qu’il aimait cela. Il aimait être cocu, il aimait que je lui donne des ordres. J’en ai profité, je lui ai ordonné de commander des cages de chasteté, une en fer et une autre en plastique. Depuis, il est toujours avec une cage et il sert de larbin.
Nous nous asseyons sur un banc, je regarde Manon, je continue :
— Céline, c’est autre chose, elle n’est pas encore annelée, mais je m’amuse à la fister. C’est une femme fontaine. Ses tétons sont très sensibles, j’adore jouer avec. Par contre, c’est ...
... une piètre suceuse, je suis en train de l’éduquer à ma manière. Elle a très souvent le cul rouge mais elle fait beaucoup de progrès.
Nous recommençons à marcher. Je regarde Manon, elle a les yeux brillants.
— Accepteriez-vous une quatrième femelle ? J’ai tellement envie que vous vous occupiez de moi.
-Déboutonne le haut de ta robe.
Manon le fait sans hésiter. Je regarde. Les pinces sont là, les tétons légèrement aplatis. Je fais un tour de vis supplémentaire. Les tétons sont bien aplatis. Manon reboutonne sa robe.
— J’ai tellement rêvé de ce moment, me dit Manon.
Nous nous écartons du chemin, il y a un bosquet pas loin. Je baisse mon pantalon, lève la robe de Manon et la prends. Elle est trempée. Je jouis très vite sans m’occuper d’elle. Je me rhabille. Manon baisse sa robe. Je la regarde.
— Demain soir, tu viens avec ta valise. Voilà l’adresse.
Manon prend le papier que je lui tends, me regarde.
— Merci Monsieur, je serais une bonne femelle.
Je m’en vais sans me retourner, heureux.