A toutes les femmes (1) - Histoires de Sexe

A toutes les femmes (1)

La musique s’arrête, je te regarde, toi mon Amour dans ta robe rouge qui met ta féminité parfaite en valeur. Quand tu me vois dans l’encadrement de la porte, tu me souris, il est magnifique, hypnotique. Tes dents immaculées scintillent. Je m’approche de toi, te prends la taille j’ai si peur de casser cette merveille. Tu viens vers mon visage, mon cœur bat à mille à l’heure. J’embrasse tes lèvres sensuelles, qui sont rafraîchissantes dans ce monde triste. Après ce long baiser tu lèves les yeux, nos regards se croisent. Je plonge dans celui-ci comme dans un abîme de sensualité. Le temps n’existe plus, tu glisses tes doigts dans ma main. C’est irrésistible, tu sais que tu m’as prise au piège. Tu mords tes lèvres d’envie, tu prends l’escalier tes hanches roulent, lentement. Je te suis comme si tu étais le plus beau des oasis. Je te suis jusqu’à ta chambre, tu la refermes derrière moi. Ton regard à changer, je ne suis plus qu’une proie, la lionne fière, que tu es, me tourne autour. Mon costume et ma chemise se retrouvent par terre, tes doigts parcourent mon torse.

Tu dois remarquer la bosse qui déforme mon pantalon mais tu n’y prêtes pas attention. Tu t’écartes en retirant lentement ta robe, elle glisse sur tes épaules. Dos à moi je la vois tomber jusqu’à ton bassin, j’observe ton dos nu. Tes cheveux tombent en cascade sur ce dernier. La robe continue sa course jusqu’à terre, seule cette culotte rouge résiste encore. Tu marches lentement jusqu’à moi passe dans mon dos. Tes ...

... mains glissent sur moi et retirent mon pantalon, mon caleçon est déformé par mon érection. Ta main passe dessus, me nargue. Tu souris, tu me laisses là debout en allant vers la table de nuit, tu prends la bouteille de champagne qui y repose. J’observe le liquide. Plutôt tes mains fines...

De nouveau face à moi tu me regardes dans les yeux. Le verre se lève. Ces lèvres, TES lèvres. Se collent aux miennes en moi c’est un volcan adoucit par le champagne que tu déverses lentement dans ma bouche. Je le bois avec délice, ma main passe sur ta nuque et je t’embrasse à pleine bouche. Tu me réponds à ce baiser en retirant mon caleçon. Je suis dur pour toi, ta main l’empoigne je retiens mon souffle. Tu t’agenouilles et avec délicatesse ta bouche englobe mon dard. Mes yeux se ferment, c’est un délice puis tu te relèves ce n’est pas fini tu l’as décidée autrement, tu t’approches du lit, monte dessus tu es à quatre pattes, tes fesses face à moi encore habillées de cette fine lingerie couleur rubis. Tu m’attends, j’arrive dans ton dos mes mains se pose sur tes hanches et fond glisser cette ultime barrière à ce corps nu. Je ne saurais le décrire ma bien-aimée, oui ! Comment décrire un corps si parfait que même Aphrodite aurait honte d’elle-même face à toi. Ma main droite passe sur ce trésor, tu as rasé ton Mont de Vénus pour l’occasion.

Tu sais que j’aime ça ! Je m’approche, me colle à toi, j’ai si peur de te brusquer, cette beauté ! Comme fragile, ma main passe sur ta poitrine, caresse ...