Le jour où mon meilleur ami est devenu mon maître - Histoires de Sexe

Le jour où mon meilleur ami est devenu mon maître

Je m’appelle Magalie et j’ai aujourd’hui 25 ans. Je suis une fille de taille moyenne, des cheveux bruns et des yeux bruns, des seins moyens et des fesses assez plantureuses. J’aime beaucoup le sexe, et mon copain beaucoup moins. Alors souvent je suis obligée de laisser mes mains et mes jouets s’occuper de moi. Mais aujourd’hui se fut une toute autre histoire…

J’ai toujours très largement apprécié mon meilleur ami Benoît, durant tout notre lycée nous nous sommes loupés de peu en amour mais nous sommes toujours resté proche autant mentalement que physiquement, une sorte de tension sexuelle était constamment instauré entre nous. Aujourd’hui 10 ans après je suis marié avec mon amour de lycée, et lui avec le sien.

Aujourd’hui mon mari est absent, pour cause de voyage d’affaire, je suis seule dans la cuisine, avec comme seule habit un grand tee-shirt arrivant à peine sous mes fesses, quand j’entends sonner à la porte d’entrée. J’ouvre la porte et je vois avec surprise Benoît qui a l’air tout aussi surpris de me voir en tenue aussi légère :

- Oh désole, je te dérange ? Je passais juste parler un peu, ça faisait longtemps me dit-il

- Oh mais non tu ne me dérange pas du tout, excuse moi pour cette tenue mdr mais Paul n’est pas là alors je traîne à la maison. Mais entre donc ! Il fait si froid dehors.

Je passe devant lui le laissant entrer et fermer la porte derrière moi.

Nous nous retrouvons tout les deux dans la cuisine, je m’appuie contre l’ilot central, Benoît ...

... se place à côté de moi. Je voulais lui demander comment sa vie allait mais il ne m’en laisse pas le temps et m’embrasse. Surprise je me laisse faire, mais il se recule tout d’un coup :

- Excuse moi je suis vraiment désolé… C’est juste que depuis dix ans je me demande ce que nous deux ça aurait donné, pis en ce moment ça ne va pas fort avec Julie… Alors tu vois fin…

Je ne le laisse pas terminer son interminable discours d’excuse et l’embrasse à mon tour :

- J’en rêve depuis dix ans aussi, lui dis-je

Il me soulève du sol tout en m’embrassant et j’enlace mes jambes autours de sa taille, je sens ses mains glisser sur mes cuisses et, aventurières, remonter de plus en plus sous mon court tee-shirt.

Petit à petit elles atteignent mes fesses qu’elles empoignent comme si ses dix ans d’attentes se libérait d’un coup. Il me couche sur le plan de travail de l’ilot et sans un mot se mets à genoux devant moi, il laisse ses mains courir encore un peu le long de mes fesses et de mes cuisses. Puis se mets à jouer avec l’élastique de ma culotte pendant que ma respiration commence à s’accélérer. A ce moment je sais très bien ce qui va arriver et je me fiche des conséquences, parce que j’en meurs d’envie aussi.

Benoît cesse de jouer avec l’élastique de ma culotte et la fait voler derrière le comptoir, ses doigts peuvent alors continuer leur course vers mon Mont de Vénus qui n’attends qu’un chose c’est de les accueillir. Mais il me fait encore attendre comme pour bien me montrer ...