Chez ma maîtresse
Datte: 15/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
toilettes,
douche,
telnet,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
facial,
Oral
nopéné,
fdanus,
uro,
Auteur: Ron, Source: Revebebe
Mes premiers ébats avec Franou m’avaient appris une chose : je suis réellement fait pour obéir aux femmes.
La vie avait repris son cours normal, car Franou ne venait que chaque semaine, et que j’étais souvent au travail, soit la présence de ma femme à la maison m’empêchait de rester avec Franou.
Mais en moi-même, je bouillais de pouvoir de nouveau goûter les plaisirs qu’elle m’avait fait découvrir, avec malgré tout une grande anxiété au fond du ventre : qu’allait-elle me faire subir, elle qui avait compris le pouvoir qu’elle pouvait avoir sur moi ? Cette question me tiraillait, et j’étais partagé entre le désir et l’angoisse, ce qui ne manquait pas de déclencher chez moi des rêves extrêmement excitants.
Après dix jours, n’y tenant plus, je décidai de l’appeler pour lui fixer rendez-vous. En composant son numéro mes doigts tremblaient, et lorsque la sonnerie retentit mon cœur battait comme après un marathon ! Une sonnerie, deux, trois… Elle ne répondait pas, me laissant en proie à une frustration indescriptible !
Un peu plus tard, je retentais et encore une fois je tombais sur son répondeur. C’est la bouche sèche et la voix tremblante que je lui laissai un message, un bête message qui disait « rappelle-moi, j’aimerais bien qu’on se voie… »
Le soir même, excité comme jamais, je décidais puisque Franou me faisait attendre, d’appeler Sylvie pour qu’elle me libère de cette excitation contenue trop longtemps. Ce soir-là, Sylvie me soumit à ses caprices ...
... téléphoniques comme une hôtesse de charme qu’elle était, avec douceur et force en même temps. Je jouis en grognant pendant qu’elle m’appelait sa chienne, et savoir que cette femme pouvait me rendre fou rien que par sa voix décupla mon plaisir, mais en jouissant, c’est l’image du cul de Franou qui me revenait sans cesse…
Le lendemain, alors que j’étais absorbé à d’autres tâches, j’entendis soudain mon portable qui sonnait : je recevais un SMS. En plein travail je ne le consultai pas tout de suite, et quand je me rappelai de le regarder mon cœur fit un bond dans ma poitrine : un SMS de Franou ! Je l’ouvris bien vite : elle m’informait que, seule chez elle à midi, elle m’y donnait RDV, avec l’adresse. Midi ? Juste le temps de prévenir ma femme –j’ai du travail je reste au boulot – et je sautais dans la voiture, non sans avoir répondu –OK j’arrive – à Franou.
En arrivant à l’adresse dite, j’étais déjà excité et mon sexe se durcissait rien qu’en pensant à ce qui m’attendait. À l’interphone, elle m’ouvrit sans un mot et, arrivé devant la porte de palier j’hésitai un instant à frapper : je commençai par réajuster mes habits et essayai tant bien que mal de dissimuler mon érection, au moins pour paraître correct. Une fois présentable, je frappai enfin, et Franou vint m’ouvrir…
Ce fut un vrai choc ! Franou, maquillée, apprêtée, mais habillée en petit caraco, et en bas un petit short en jean moulant et ultra-court qui laissait apparaître la base de ses fesses. Elle me souriait sans rien ...