Le Joker a encore frappé (1)
Datte: 15/06/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: SpectreX, Source: Xstory
... bouton d’amour.
En sueur, complètement obnubilée par le plaisir, je n’entendis pas la bête approcher. Ce n’est qu’au moment fatidique, celui de l’orgasme, que l’haleine de Joker me fit remarquer sa présence. Je ne pouvais cependant pas m’arrêter maintenant, la frustration sexuelle aurait été trop grande. Ainsi donc je continuai mes mouvements en la présence de mon chien, et l’impensable se produisit. Je sentis une sensation des plus vivifiante dans le bas de mon corps. Cette sensation, je la connaissais : c’était celle d’une langue parcourant mon intimité. Les divers jeux que mon ex avait inventés m’avaient donné l’habitude de fermer les yeux dans de telles circonstances. Mes hormones dictant mes actions, je laissai faire mon chien et me laissai aller au plaisir que m’apportait cette langue.
La jouissance ne se fit pas attendre longtemps. L’orgasme me frappant était puissant, bien plus puissant que vous ne pouvez l’imaginer. Ce n’est qu’au moment où ma conscience me rattrapa que je compris qu’il y aurait une suite à ce rapport que j’aurais refusé dans d’autres circonstances.
Joker commença à me baiser la jambe. Mon premier réflexe fut de le repousser par dégoût, bien que je sortisse d’un orgasme zoophile.
La bête savait néanmoins y faire avec les rejets. Joker revint à la charge quelques secondes plus tard en ...
... visant cette fois l’intérieur de mes cuisses. L’inévitable finit par arriver : son pénis, lors de ses petits mouvements de va-et-vient, finit par pénétrer mon intimité. Ma chatte était luisante de cyprine et ce liquide magique facilita amplement l’acte sexuel qu’était en train de m’imposer mon chien. Enfin... quand je dis imposer, ce n’est que pour les premières secondes de ce rapport.
En effet, je pris vite mon pied. Face à la violence des mouvements de l’animal, je me mis en position de soumission. Le fait que son sexe était le plus gros à m’avoir jamais pénétrée facilitait la tâche. Les va-et-vient continuaient et je savais que je ne durerais pas longtemps. Cela faisait à peine une minute qu’il avait commencé mais cet ébat bestial allait déjà prendre fin. Je sentais les mouvements de mon chien accélérer, il allait bientôt venir.
Soudainement, je sentis plusieurs salves d’un liquide chaud s’écouler en moi. Il n’en fallut pas plus pour que mon vagin se contracte et que ma jouissance me vide de toute l’énergie qu’il me restait. Ce fut magique mais court, rapide mais puissant, unique et pourtant voué à se reproduire.
Joker se retira avant de se coucher gentiment à côté de moi. Il semblait tout aussi épuisé que moi. Nous nous sommes endormis côte à côte, tel un couple après une soirée épuisante mais satisfaisante.