1. L'assistante sociale


    Datte: 12/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymisterbone, Source: Literotica

    ... canicule de début d'été, elle marcha d'un pas lent jusqu'à sa voiture et roula machinalement jusque sur le boulevard du Phare. Elle n'avait pas pris la peine de se maquillée. De toutes manière, depuis le lever du soleil, des larmes coulaient constamment des ses yeux gris.
    
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    C'est ainsi que Catherine se retrouvait maintenant chez l'affreux couple. Elle était maintenant presque nue. Elle n'osait pas bouger et attendait en silence la suite des événements.
    
    Sans même se retourner, Dobson lui lança :
    
    -Il y a de la vaisselle à faire Minette. Ne met que de l'eau chaude, je veux que ça brille.
    
    Catherine considéra l'imposante pile de vaisselle souillée qui couvrait le comptoir. Elle s'approcha lentement du lavabo.
    
    -Allez fainéante, au boulot!
    
    Sur ces mots, elle entendit un sifflement aigu et son cul explosa dans une douleur cuisante. Mélanie Dobson, s'était approchée sans bruit et venait de lui administrer un sévère coup avec la baquette de un mètre qu'elle tenait à la main.
    
    -Aaiiie!
    
    -Ta gueule! fit la voix sonore de Dobson. Si tu pensait venir ici pour jouer au fesses et prendre ton pied toute la journée, tu te trompe salope. Si tu veux te faire ramoner par ma queue, il va falloir que tu le mérites.
    
    -Mélo, assure-toi que l'eau est bien chaude et que mademoiselle la putain de fonctionnaire travail. Ça va la changer un peu de la paperasse. Au boulot!
    
    -Han, Han. fit Mélanie en touchant à l'eau brulante.
    
    Catherine n'essaya même pas de retenir ses ...
    ... larmes quand la baquette de bois percuta de nouveau ses fesses. Elle plongea ses mains dans l'eau, poussa un petit gémissement de douleur en entrepris sa tâche.
    
    La nouvelle bonne des Dobsons travailla sans relâche pendant près d'une heure sous les encouragements enthousiastes de la baguette de Mélanie. Les seuls sons qu'on pouvait entendre étaient la télé et les ricanements de sa tortionnaire. Jamais Réal Dobson ne jeta un seul regard à l'assistante sociale au corps ruisselant de sueurs et aux mains enflées par l'eau chaude.
    
    Catherine laissa son esprit être absorbé par sa tâche. Elle n'entendit pas l'homme s'approcher. Elle détecta plutôt son odeur. Il était maintenant clair pour elle que Réal Dobson avait porté une attention particulière à son hygiène lors de leurs rencontres précédentes. C'était maintenant du passé. Il était évidant qu'il n'avait ni brosser ses dents, ni pris de douche depuis sa visite de la veille.
    
    L'homme la pris par la taille, se collant contre elle en l'embrassant dans le cou, comme un amant attentionné. Ses mains remontèrent lentement vers ses seins qu'il se mit à serrer jusqu'à ce que Catherine grimace.
    
    - T'as vraiment un corps d'enfer. Continue à travailler.
    
    Ses mains explorèrent le corps de Catherine. Il s'attarda longuement sur ses seins, pinçant et étirant les tétons, malaxant avec force ses superbes globes. Il tata son ventre comme un médecin, impressionné par la fermeté de celui-ci. Il explora ses fesses et glissa sa main dans la ...
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