L'assistante sociale
Datte: 12/06/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymisterbone, Source: Literotica
... Catherine regardait sans bouger l'homme pénétrer sans ménagement sa partenaire qui poussa un long râle de plaisir.
Voyant l'assistante sociale ainsi figée, il lui lança à la figure la culotte rose décolorée et usée. Catherine l'attrapa par réflexe et eu un geste de dégoût. La vielle culotte sale était toute poisseuse des sécrétions de Mélanie. Dobson remarqua le geste.
-Vas-y, sent la, Mets ton nez dedans. Respire l'odeur d'une vraie femme qui mouille pour son homme. Ma Mélo, c'est pas une petite gouine frigide comme toi.
Machinalement, comme hypnotisée, Catherine porta le vêtement à son nez et respira l'odeur forte de la chatte de Mélanie. Pendant ce temps, Dobson allais et venais à grand coup de queue dans le con de sa femme qui se lamentait de plus en plus.
-Han! Han! Han! Oui! Ouiii! Han! Ouuu!
-Allez salope, arrête de te rincer l'oeil, au travail!
Catherine repris son boulot. Elle tentait en vain d'ignorer le couple qui baisait bruyamment tout près d'elle. Du coin de l'œil, elle observa Mélanie Dobson.
La femme était beaucoup plus jeune qu'elle en avait l'air. Pas plus propre que son mari, les cheveux bouclés, gras et sales. Elle avait une très petite bouche qui restait toujours un peu entrouverte. Ses dents jaunies était croches et avançaient vers l'avant. Ses traits étaient lourds. Sans être obèse, Mélanie était grasse. Elle arborait un gros ventre mou qui bougeait comme de la gélatine sous les coups de queue de son amant. Dobson avait repoussé sa ...
... chemise de nuit pour libérer ses seins. Ils étaient mous, sans aucun tonus, les mamelons constamment en érection. À voir comment l'homme les maltraitait, ce n'était pas surprenant. Il pinçait littéralement les tétines de sa femme pour les tirer vers lui au point où Mélanie devait arquer son dos pour suivre le mouvement. Elle ne semblait cependant pas ressentir de douleur de ces mauvais traitements, l'habitude peut-être. La femme avait une pilosité étonnante. Ses jambes n'avaient probablement jamais été rasées et son sexe était complètement recouvert d'un poil noir et raide qui remontait haut sur son ventre. Une chose était certaine, elle semblait prendre beaucoup de plaisir dans ce brutal coït.
-Hey la fainéante! Tant qu'à nous reluquer, approche.
Catherine franchit les trois pas qui la séparaient du couple. Dobson lui agrippa le mamelon gauche et l'attira jusqu'à lui. Une main maltraitant le sein de sa femme qui se lamentait, l'autre pinçant et étirant le téton de l'assistante sociale, il dit :
-Avoue qu'elle est belle ma Mélo.
Comme elle tardait à répondre, Dobson tira d'un coup sec sur le mamelon sensible.
-Aie!! Oui, elle est belle. Dit-elle d'une petite voix.
-Je l'savais. Les jeunes, vous êtes toutes des gouines. Ca t'excite de la voir jouir? T'es jalouse de ne pas avoir ma queue dans ta touffe?
Sur ce, il resserra sa prise sur le sein de Catherine qui répondit d'une voix éteinte ce que son bourreau voulait entendre.
-Oui.
-Oui quoi?
-Oui ...