1. La patronne de ma mère est une cougar (1)


    Datte: 09/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... vous garantir que je n’ai pas bougé de ma table toujours emboîté en dessous. Après le tirage de la tombola, Muriel est venue me revoir et a prétexté que je l’accompagne pour lui montrer sa voiture plus en détail. En fait une fois que nous étions sortis de la salle, elle m’a emmené dans les couloirs; dans les étages au-dessus, au calme et elle m’a pris par la main pour que nous nous engouffrions dans une petite salle.
    
    Il faisait pour ainsi dire noir dans cette pièce, nous n’étions seulement éclairés que par la lumière des spots extérieurs. Muriel s’est assise sur une table et a largement écarté les jambes, elle m’a invité à venir m’agenouiller devant elle. Si sa robe n’avait pas été si longue, j’aurais pu voir son minou de suite; mais je savais quand même qu’elle n’avait pas de culotte. Par contre une fois que je me suis retrouvé avec sa robe par-dessus la tête je ne voyais toujours pas son minou mais maintenant je le sentais, et je peux vous garantir que ça sentait bon la petite fille négligée. Quand Muriel a saisi ma tête, pour la plaquer contre son minou; en plus de l’odeur, j’ai eu le goût. Il n’y a pas à dire cette soirée de fin d’année allait être mémorable pour moi. En quelques secondes ma langue curieuse, peut-être gourmande en même temps, a commencé à se promener sur l’intimité de ma prof de sexe. Pendant que j’étais glissé sous cette robe, j’entendais la musique qu’il y avait à notre repas de Noël, mais en même temps il ne fallait pas que je me déconcentre sur ...
    ... la tâche qui m’était imposée.
    
    Ce soir il fallait que je découvre comment était un sexe féminin et surtout comment donner du plaisir à une femme avec ma langue. Le goût de sa cyprine était fort mais très plaisant, j’essayais d’en laper le maximum; au fur et à mesure de mes investigations, j’ai fini par découvrir des endroits qui étaient très sensibles, bien plus sensibles que d’autres très proches. Elle était assise sur la table légèrement penchée en arrière avec ses mains qui la retenait, je pouvais deviner sa poitrine fort désirable. De mon côté j’étais confortablement installé, à genoux sur une fine moquette; mais surtout agrippé aux cuisses, gainée de lycra, de Muriel. Je ne pouvais savourer la douceur de sa peau qu’en remontant mes mains au-dessus de ses bas. Les minutes allant, j’ai commencé à prendre quelques initiatives avec mes mains; à savoir doucement lui caresser le haut de son entrejambe. Manifestement vu sa réaction, ça avait l’air de lui faire beaucoup d’effet; je commençais à la voir frémir, sans doute de plaisir. Était-ce mes caresses ou ma langue qui la mettaient dans cet état toujours est-il que je ne la laissais pas indifférente.
    
    Maintenant je commençais à m’enhardir en allant lui introduire un doigt, puis deux et surtout lui caresser l’intérieur de son vagin. La conjonction de ma langue et de mes doigts commençait à la transcender, j’étais sur le point de faire jouir la DRH de ma mère. Puis elle s’est mise à me serrer le visage avec ses cuisses, à ...