1. Le rendez-vous décisif


    Datte: 11/06/2020, Catégories: hh, hagé, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme hféminisé, Oral hsodo, init, Auteur: Petit Louis B, Source: Revebebe

    ... bras. Son corps était chaud contre le mien. Je sentais son sexe irradier sur mon ventre. J’avais posé ma tête sur son épaule et il me caressait les cheveux. Je me sentais bien.
    
    — Tu es très beau, Louis… dit-il la voix toujours enrouée.
    — Toi aussi, tu es très beau…
    — J’aime beaucoup tes cheveux…
    — Et moi j’aime quand tu les caresses. Continue…
    
    Il pressa son sexe un peu plus fort contre mon ventre. Je pressai le mien contre sa cuisse, me frottant contre lui en donnant de petits coups de reins.
    
    — Mmm… fit-il, tu m’as l’air bien excité…
    — Oui… C’est de ta faute… Quelle idée de se mettre tout nus !
    — Mais tu aimes ça, n’est-ce pas ?
    — Oui… beaucoup, dis-je dans un souffle.
    
    J’avais accéléré la cadence et je sentais sa verge se frotter contre moi au même rythme. Un plaisir coupable m’envahissait peu à peu.
    
    — Et moi, j’aime beaucoup ton corps, tes cheveux, ton visage, c’est si beau…
    — Tu me trouves vraiment beau ?
    — Oui, Louis, tu es beau, tu es merveilleusement beau…
    
    C’était la première fois de ma vie qu’on me disait cela. Éperdu de reconnaissance, je levais la tête vers lui, le regardant les yeux dans les yeux.
    
    — Toi aussi, tu es beau, Robert…
    — Et tes yeux bleus, ils sont adorables…
    — Embrasse-moi…
    
    Nos lèvres se joignirent pour un doux baiser. Mon excitation était à son comble et je jouis dans un spasme, répandant mon sperme sur sa cuisse. Il gémit et à son tour, m’inonda le ventre de sa semence.
    
    Nous restâmes immobiles un moment, les lèvres ...
    ... jointes, moi me serrant contre lui de toute la force de mes petits bras et lui me caressant doucement. Notre excitation retomba, bien que nos sexes restèrent durs, coincés entre nos deux corps enfiévrés de plaisir. À chaque fois qu’il éloignait sa bouche, je murmurais « Encore… » et il reprenait ce baiser que j’aurais voulu sans fin.
    
    — Tu as faim ? me demanda-t-il.
    
    Je le regardais un peu surpris, sortant de ma torpeur. Il me sourit. Aussitôt que je compris la question, je sentis mon estomac se contracter. En fait, préoccupé par ce rendez-vous, je n’avais pas mangé grand-chose à midi.
    
    — Oui, répondis-je, je meurs de faim ! Qu’est-ce que tu me prépares ?
    — Des spaghettis… et j’ai acheté une tarte !
    — Pas très équilibré, dis-je en riant, mais ça me va !
    
    Nous nous rhabillâmes et je l’accompagnai à la cuisine, une pièce assez vaste avec une table et des sièges, où je m’assis sur un tabouret pendant qu’il préparait à manger.
    
    — Je suis désolé, dit-il après avoir mis l’eau à bouillir, je ne suis pas un grand cuisinier !
    — Ne t’inquiète pas, moi non plus ! rétorquai-je en riant. Et puis j’adore les spaghettis.
    
    Tout en parlant, je continuai à me passer les mains dans les cheveux en penchant la tête, en le regardant avec des yeux langoureux. Je ne pouvais m’empêcher de l’exciter. À la bosse persistante qui déformait son pantalon, je voyais bien que ça marchait. Il ne cessait de me jeter des regards enflammés.
    
    — Hum… repris-je, tu m’as l’air tout émoustillé… tu vas ...
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