Sophie et Laurence (9)
Datte: 11/06/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: laulau68, Source: Xstory
... Poppy se rentre le gode dans le minou et l’enfonce profondément, au moins quinze centimètres d’un coup, puis pince une chaîne à chaque aréole gonflée, magnifique.
— Oh, tu les mets comme Laurence hihi vous avez vraiment les mêmes mamelons chérie.
— Oui, allonge-toi chaton, je vais te le mettre aussi et ensuite je m’enfonce en toi.
Sur le dos, les cuisses ouvertes, j’attends Poppy qui maintenant vient sur moi, me pose les pinces sur chaque pointe de seins qui durcissent encore plus sous la morsure de l’acier.
Elle passe sa main sur le côté pour prendre le chibre en main et se couche sur moi en le guidant entre mes lèvres ouvertes et trempées et me pénètre
profondément d’un coup jusqu’au fond de ma grotte accueillante, sans arrêter de pousser, ce qui lui rentre encore un peu plus en elle aussi.
Poppy me caresse les seins, jouant avec les chaînes qui relient les pinces, déclenchant de vives, mais bonnes douleurs dans nos nichons excités, puis me dévore la bouche en même temps, tandis que je réponds à son baiser profond, elle commence à onduler du bassin, imprime de lents et doux va-et-vient en nous, ses cuisses sont jointes, les miennes écartées et nouées autour de sa taille.
— Oh Poppy, oui encore hum j’aime comme tu m’aimes mon amour, oui plus profond.
Je prends moi-même les chaînes en main pour les secouer et relancer la douleur dans nos seins.
— Oui chaton, vas-y, remue les bien, c’est bon, tu aimes avoir mal hein toi aussi humm encore ...
... ouii.
Nos respirations s’accélèrent de plus en plus suivant l’amplitude et la force des ondulations de Poppy que j’accompagne maintenant en suivant son rythme, mes seins ne sont plus que plaisir et douleur et encore plaisir de plus en plus intense tandis que maintenant on entend le claquement de nos monts de vénus tellement nos coups de reins sont violents, chacune défonce le plus fort possible la chatte remplie de l’autre.
Nos bouches baveuses se séparent pour crier l’orgasme qui nous emporte les deux en même temps, malgré l’intensité de la jouissance, aucune de nous ne veut rendre les armes et toujours agitées l’une sur l’autre, nous subissons une déferlante orgasmique d’une violence inouïe.
Le corps de Poppy se tend comme un arc au-dessus du mien puis d’un coup dans un ultime hurlement me retombe dessus comme un cheval mort.
Nos cris se terminent en soupirs, nous sommes là, mutuellement vaincues l’une par l’autre et profondément heureuses, je reprends pied un peu avant Poppy et sans ressortir l’une de l’autre, je la bascule sur le côté puis sur le dos.
Je me retrouve allongée sur elle, retire de nos seins les pinces et la regarde en souriant, elle rit et me couvre la bouche et le visage d’une multitude de petits bisous que je lui rends aussi, on se lèche, on éclate de rire, on se serre très fort dans les bras en pressant nos visages enfouis dans le cou de l’autre, un long moment de tendresse plus tard, Poppy nous retire le gode.
— tu sais quoi chaton ?
— Non, ...