1. Brinit (inverse du Brexit)


    Datte: 10/06/2020, Catégories: hdomine, poésie, aventure, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    Texte publié tel que l’auteur nous l’a envoyé.
    
    En ces temps troublés, les Danois cherchaient des noises
    
    À ce brave Harald aux cheveux longs.
    
    Il se disait successeur du bon roi qu’il venait d’occire
    
    Dans une bataille dure et épuisante, il les repoussa à la mer.
    
    Mal lui en pris, car Le Guillaume que l’on va conquérant nommer.
    
    Près de Hasting débarqua.
    
    — Hoho ! mon cousin cher, je viens chercher l’héritage mien.
    — Que néni, cet héritage mien est
    — Quoi ! Promesses à un Normand doit être tenue.
    — Nous en découdrons.
    — Mes bons barons, allons donc ce barbon au silence réduire.
    
    Après un violent affrontement, Harald la vie perdit.
    
    — Que voila mon cousin cher de l’entêtement vous fîtes
    — Maintenant, les vers de terre galamment vous sodomiserez !
    
    Allons mes braves, la nuit va tomber et les délices nous attendent
    
    — À Nottingam ! aurait chanté un chevalier Jaque LeBrel
    
    Devant le dit château, se présentant avec Armes et bagages,
    
    Guillaume :
    
    — Oh du château, ouvrez les portes à votre suzerain.
    
    Les lourdes portes, grincèrent tant et plus, mais en vain,
    
    Mais elles finirent par s’ouvrir.
    
    — Que l’on prépare un banquet, cette course folle
    
    Mon appétit ouvrit, mes braves barons l’ont molle.
    
    — Annoncez moi à la mienne tante
    — Mais sire elle déjà au lit être
    — Que cela me va comme entente
    
    Dites- lui donc d’être prête.
    
    Mon sang est chaud et a besoin d’être refroidi
    
    — Mais Sir comme je vous l’ai dit
    
    Elle est déjà dans ...
    ... son lit.
    
    — Tant mieux la petite poulette
    
    Dans son fort est déjà prête.
    
    Grimpant à 4 pattes les escaliers
    
    Montant la tour par palier,
    
    Guillaume aux appartements arrive
    
    — Ma douce tante, votre époux vient
    
    De prendre de mauvaises habitudes.
    
    Il est en train de faire
    
    Au fin fond des enfers
    
    La cour aux vers de terre,
    
    Je viens de l’occire
    
    De ma dague en fer
    
    Et vient ici requérir
    
    Votre conin à moi chérir.
    
    — Oh ! Mon Dieu, fait la belle émue
    
    Mon bon cousin
    
    Que m’en voilà chagrinée mais trop point
    
    Quand votre glaive de sang je vois
    
    Ma grotte tremblotte je crois.
    
    — Écartez bien vos cuisses
    
    Belle tante que j’y glisse
    
    En 2 temps ma saucisse.
    
    — Mon neveu, il faut d’abord que je pisse.
    — Faites ma belle mais
    
    Ne me faites attendre
    
    Ma trique à trop tendre.
    
    — J’arrive rendre hommage
    
    Et ce n’est pas un fromage.
    
    À ce pieux peu pieu
    
    Que ma grotte en feu
    
    Attends pour baiser à qui mieux mieux.
    
    Après quelques Han ! délectables
    
    Il est temps de se mettre à table.
    
    — Ma douce tante, goûtez moi
    
    Donc cette sausage de roi.
    
    Vous m’en direz des nouvelles
    
    Car vos donzelles
    
    Aussi goûteront
    
    De moi gai paturon.
    
    — Sa majesté, dit-elle
    
    Ne touchez pas mes donzelles
    
    Avant qu’un bain vous prendre
    
    Car du bouc ou du sanglier
    
    Vos odeurs se répandre
    
    — Votre tube mignonne,
    
    Pour ma crasse sera bonne.
    
    Guerroyer transpirer fait
    
    Comme un grand portefaix.
    
    Se dirigeant, comme un ...
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