Liberté, Egalité, Nudité (3) - Histoires de Sexe

Liberté, Egalité, Nudité (3)

... tout en douceur.

L’étreinte est forte entre Jérémie et Fiona, ils crient sans retenue tout en accélérant le rythme par moments.

C’est alors que Fiona me fait signe de m’approcher. Elle saisit mon pénis sans que j’aie le temps de réagir.

Elle le pétrit entre ses doigts puis elle m’attire vers sa bouche et me suce le gland.

Ce qui m’arrive est complètement inattendu ! Fiona continue à faire l’amour avec Jérémie pendant que ses lèvres descendent sur ma tige durcie, puis remontent lentement !

Un instant, je me demande si je rêve tant cela dépasse mes espérances. Fiona est tout près de moi, elle est sur le point de jouir intensément ! Car Jérémie s’y prend comme un chef, il sait lui donner le plaisir suprême !

Fiona semble être une experte en fellation, sa langue continue à me lécher délicatement, ses lèvres à me sucer goulûment. Finalement elle me fait jouir moi aussi. Nous sommes tous les trois unis dans la jouissance, Jérémie, Fiona et moi !

C’est tellement fort que nous voudrions que cela ne s’arrête jamais...

Et quand Jérémie se retire, j’ai envie de poursuivre son œuvre. Fiona s’offre à moi lascivement : ses deux seins sont gros comme des melons, et son abricot est ravissant ! D’abord je lèche son petit bouton d’amour. Sous ma langue, Fiona ressent un plaisir ...

... renouvelé, ses cris aigus reprennent. Je continue encore un peu avant de passer à la suite.

Avec le gland, j’écarte les parois de sa fente et je rentre tout en douceur. Je lui caresse doucement les seins, tout en posant mes lèvres sur ses lèvres.

Et Fiona accueille avec délice et ma langue et mon membre. L’une explore sa bouche, l’autre son intimité de jeune fille. C’est une union intense entre nous. Je voudrais que ça dure encore, je rentre et je sors très lentement, sans hâte.

Puis j’accélère progressivement. Enfin je donne l’estocade finale.

Et soudain c’est comme une explosion, c’est l’orgasme tant attendu : Fiona se cambre et se déhanche comme un pantin tandis que ma sève se répand dans son antre ! Elle hurle comme pour signifier que sa jouissance est à son apogée !

Je reste encore longtemps, enlacé avec Fiona, à savourer ce moment de bonheur. Jérémie a disparu, laissant la porte ouverte. On pourrait nous surprendre mais je n’en ai cure : je suis tellement bien avec Fiona.

Nous nous levons et nous regagnons nos bureaux, où malgré l’heure tardive quelques collègues sont encore présents.

Leurs regards en disent long. Ils ont tout entendu de nos bruyants ébats ! Parmi eux, une jeune collègue me regarde avec envie. Je lui souris comme pour lui dire : "Patience, ton tour viendra !"