1. La Gestionnaire (16)


    Datte: 08/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... t’avoir dit que tu devais être toujours disponible quand tu es là !...
    
    Elle baisse les yeux et murmure.
    
    — J’ai...
    
    — Tu as...
    
    — Excusez-moi Maître,... j’ai oublié...
    
    — Regarde-moi... ce n’est pas bien d’oublier mes ordres... tu sais ce que je vais être obligé de faire...
    
    -... oui Maître...
    
    — Qu’est-ce que je vais être obligé de faire ?
    
    -... euh... vous devez me punir...
    
    — Bien, puisque tu me le demandes... je le ferai...
    
    Elle écarte encore plus les genoux. Elle se cambre bien. Son envie de correction est palpable. Je bois tranquillement ma bière... Elle est assise inconfortablement. Ses mains croisées et liées dans son dos l’empêchent de s’asseoir correctement. Je la regarde se tortiller d’une fesse sur l’autre. Je me lève et me dirige vers l’étage. Je mets mes affaires de randonnées alpines, je sors une corde. Je la noue à l’un des supports du garde-fou de la mezzanine. Carole entend mais de sa place ne voit pas ce que je prépare. Je l’appelle. Elle arrive.
    
    — Approche.
    
    Elle a compris. Elle se positionne sous l’avancée de la mezzanine. Je libère ses mains et elle me les tend devant aussitôt, sans que je lui demande. Je la rattache et relie la corde avec celle qui pend du haut. Je raccourcis la corde du haut. Carole est immobilisée, les bras en l’air. J’ai fait en sorte que ses pieds portent au sol, mais que son corps soit tendu. Elle est très belle ainsi exposée. De ma poche, en bon campagnard que je suis et dont je suis fier, je sors mon ...
    ... Laguiole. Ouvert, il impressionne Carole. Je la sens inquiète. Je passe la lame sous la bretelle de la robe blanche.
    
    — Oh non, elle est neuve...
    
    Je tire un coup sec. La bretelle, tendue, part en arrière et claque sur l’épaule nue.
    
    — Aie !...
    
    — Tais-toi...
    
    Je procède de la même façon pour l’autre lanière de tissu... même claquement, mais aucun cri de Carole. Je pose le couteau sur la commode à côté. Je saisis l’anneau de sa robe et descends lentement le zip. Cran après cran, la fermeture est ouverte. J’ai l’impression de dépouiller un lapin, ou plus exactement une lapine. La robe tombe au fur et à mesure de la descente du zip. Je finis d’un coup sec. Le tissu chute derrière Carole. Elle est là tout de blanc vêtue, uniquement de ses bas, de son string et de ses chaussures hautes. Je prends mon couteau et pose la pointe dans le creux de l’aine. Carole a un mouvement de recul...
    
    — Que tu le veuilles ou non, tu seras corrigée...
    
    — Mais, Maître, j’ai peur du couteau...
    
    — Tant pis pour toi...
    
    Je glisse la lame sous la dentelle fine. L’éclat de l’acier traverse le fragile rempart. La pointe sort de l’autre côté du vêtement. Je tire sur la lame en glissant. Le tissu cède sous le tranchant. Le string se sépare en deux pans. Ils pendent entre les cuisses de Carole. J’attrape la ceinture et la remonte vers la poitrine. Carole se retrouve avec un triangle de dentelle sur le ventre. Tenant le triangle par la pointe du bas, je tranche d’un coup la ceinture. Je roule ...