1. Soumis à ma belle-mère (11)


    Datte: 08/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Inceste / Tabou Auteur: HaroldDeParis, Source: xHamster

    ... leur Maitresse. De temps à autre, Béatrice regardait par-dessus mon épaule, et me pinçait durement les tétons quelques instants. Mon gland rougi qui cherchait à repousser la terrible cage me faisait souffrir.
    
    Je regardais des scènes d'humiliation, de coups sur les parties intimes, de douche doré et autre, et j'aimais faire cela devant ma Maitresse si vicieuse.
    
    Béatrice n'a plus de limite dans mon humiliation
    
    Au bout d'une heure, elle me demanda de stopper les vidéos, de me mettre à quatre pattes. Elle se retourna, souleva le bas de sa robe noire, baissa son collant noir et sa culotte blanche, s'accroupit presque pour venir présenter son petit fessier à mon visage. Elle tenait ses fesses écartées et je voyais toute sa raie de son cul poilu. Ses poils étaient poivre et sel, entourant son anus brun et ses lèvres vaginales pendantes.
    
    - Esclave, je veux savoir si tu m'aimes et me désires totalement. Je deviens folle à cause de toi mais c'est trop bon de te posséder, de te tyraniser. J'ai des gaz ce soir, et je te demande de respirer mes parfums naturels. Tu as compris? je veux t'entendre respirer mes pets par le nez.
    
    Elle était sur le bord de rire par moquerie, interloquée elle-même de son audace, mais l'ordre était tombé, clair et net.
    
    J'attendis plusieurs secondes, le visage à quelques centimètres de son cul. Puis, le silence parfait fut rompu par des chapelets de pets. J'étais complètement excité par une énorme et longue frustration, aussi je plongeai dans son caprice. A chaque pet, j'aspirai ses gaz bruyamment par le nez. On sait bien ce qu'un pet sent et c'est vraiment dégueulasse. Pourtant j'aspirai tout ce que je pouvais, tout en la remerciant de ses cadeaux.
    
    Elle se redressa enfin, me complimenta comme esclave pervers, se rhabilla, et partit sans m'embrasser en me demandant de garder ma cage pour la nuit.
    
    Ma nuit fut pénible...
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