Feu aux joues... et au reste
Datte: 19/01/2018,
Catégories:
fh,
cérébral,
Masturbation
massage,
pénétratio,
Auteur: Capp, Source: Revebebe
... bienfaisante. Inconsciemment mes mains huileuses descendent le long de mon ventre et effleurent le gland de mon sexe. Contact électrique : ça y est, je commence de lents et sensuels va-et-vient, je n’en peux plus, je revois ma masseuse m’effleurer le sexe et cette fois-ci le prendre en main doucement puis fermement…
Je rouvre les yeux et une petite voix intérieure me dit qu’il est temps de se lever. Avant de me rhabiller, j’essuie lentement l’huile sur mon corps et ne peux m’empêcher de me caresser lentement le sexe et le ventre. Allez on se rhabille !
Je sors de la salle, un peu à l’ouest, ébloui et je vais vers ma masseuse. Elle me demande si j’ai pris bien mon temps avec un petit sourire mutin et tendre, j’hallucine du calme que dégage cette fille, incroyable ! Je règle, nous discutons et elle me donne son prénom « pour la prochaine fois ». Je suis scotché au carrelage et ne peux partir, mais la boule que j’ai dans le bas-ventre me donne envie de vite déguerpir. Lorsque je sors, le froid me surprend, j’ai le feu aux joues… et au reste, je cours vers ma voiture.
Une fois dans la voiture la plénitude du massage s’estompe et la tension sexuelle domine, je suis un sexe ! Il fait nuit, heureusement ! Je caresse mon sexe à travers mon pantalon, mais vite je démarre. Les quelques kilomètres qui me séparent de la casa sont de trop, je n’en peux plus. Fébrilement tout en roulant je sors mon sexe encore huileux et commence des va-et-vient, c’est la torture. Au feu rouge ...
... je me fous de la voiture à côté et de la femme qui pourrait voir que je me branle comme un adolescent !
Arrivé, enfin… je souffle un coup. Quand je fais rentrer la clef dans la porte, c’est quasiment dans l’urgence ! Ouf chez soi ! Ma petite femme arrive, « comment c’était alors le massage ? » Par où commencer ? Je commence par le début « c’était très pro tu sais » puis doucement je commence par lui caresser son joli fessier pendant que je parle, j’ai envie de lui arracher son pantalon et de la prendre là ! Et pourquoi pas ? C’est par derrière que ma main descend dans son pantalon, dans sa culotte et je referme ma main sur la raie de son cul et la lisière de son petit trésor. C’est too much, je lui happe sa bouche, la retourne doucement et la plaque contre la table, elle ne doit rien comprendre et ne doit pas se douter des raisons de mon désir débordant.
Je bande comme jamais, je suis dur et ma femme le sent bien contre ses fesses. Elle a mis ses mains en arrière et m’enlace jusqu’à essayer de défaire la ceinture de mon pantalon (il semble que mon désir a été communicatif et je la sens excitée dans mon étreinte). Voilà, la ceinture est défaite et mon pantalon tombe lentement par terre, je finis de me déshabiller fébrilement et me retrouve nu en quelques secondes. Je m’occupe rapidement de son pull et voilà ma belle femme en soutien-gorge avec le pantalon négligemment descendu à mi-cuisse. C’est une vue incroyablement stimulante et profondément indécente. Les cheveux ...