Ma relation avec Andrée
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
rasage,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
amourdura,
Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe
... modèle en blanc, je ne l’ai jamais mise avec toi.
— D’accord pour le blanc, avec le soleil radieux d’aujourd’hui, j’aurai double bonheur.
— Et en dessous, comment je m’habille ?
— Je peux te dire ce que je ne veux pas.
— Ça j’ai compris, mais comme il fait chaud, je mets des bas ou non ?
— Comme tu veux mais avec un porte-jarretelles, comme cela s’il te prenait l’idée d’être exhibitionniste tout à l’heure, je serai à la meilleure place.
— Je n’en doute pas, petit « coquinou »
Je n’ai plus de remarques à faire à Andrée qui s’habille comme je le souhaite, je n’en doutais pas. Prêt au départ j’ai tout de même un remords pour elle, vis-à-vis de sa tante :
— Approche chérie, pour le contrôle avant départ ?
Elle se positionne devant moi qui suis assis sur le canapé ; sans précaution, je relève sa robe dont les trois derniers boutons du bas ne sont pas attachés, jusqu’au-dessus de la ceinture. Bien sûr, elle n’a pas mis de culotte et le porte-jarretelles blanc supporte des bas, couleur vison. Le spectacle est paradisiaque pour moi mais un remords me tracasse :
— Ne crois-tu pas que l’on remarque que tu n’as pas mis de culotte ?
— Et alors ?
— Je pense à ta tante qui ne doit rien savoir de nos fantasmes intimes, c’est toi qui me l’as dit.
— Eh bien tant pis, on ne voit rien, alors où est le problème ?
C’est vrai que sa robe est doublée et qu’en bas rien ne paraît, même en contre-jour. Bien sûr, en haut on devine le soutien-gorge blanc mais c’est tout à fait ...
... décent.
— OK, Andrée chérie, mille excuses, je valide cette tenue pour le déjeuner chez tante Clémence.
— Heureusement, je ne peux pas mieux faire aujourd’hui.
Dorénavant, à chaque sortie, il y a choix et validation de la tenue en fonction de ce que l’on fait et de l’endroit où nous allons, c’est bien sûr moi le maître-correcteur.
Le déjeuner chez tante Clémence n’a rien de particulier. Tout au plus, Andrée m’exhibe ses dessous à l’apéritif, assise sur le canapé. Le régal est quand elle tente de sortir avec difficultés, des coussins qui semblent vouloir la retenir. Elle est obligée d’écarter les jambes pour prendre appui sur ses deux pieds avant de pousser à l’aide d’une main sur le coussin qui semble lui échapper en s’enfonçant. C’est à chaque fois une vue imprenable face à elle, qui me laisse voir le haut des bas, les jarretelles et sa chatte poilue sans culotte. Elle en abuse un peu et moi aussi lorsque sa tante n’est pas dans notre champ de vision. Une fois, en passant près de moi, je lui dis :
— C’est joli ce que tu me montres mais j’ai l’impression que tu portes un string de poils !
— À ta disposition, tu veux que nous rentrions maintenant.
— Non, après le repas, mais ne dis pas à tante Clémence de sortir avec nous promener le chien ni nous raccompagner.
— C’est aussi mon intention, mon C.H.E.R.I.
Le déjeuner est typique d’un repas familial, tante Clémence paraît satisfaite du bonheur de sa nièce et je pense même qu’elle sait ce qui s’est passé cette ...