1. Ma relation avec Andrée


    Datte: 08/04/2018, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme rasage, entreseins, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, amourdura, Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe

    ... Michel, Madame.
    — C’est un prénom que j’aime bien, c’était celui de mon défunt mari.
    — Pardon Madame, je ne pouvais pas savoir que vous êtes veuve, vous vivez avec votre tante dorénavant ?
    — Non, nous sommes souvent ensemble, habitant à deux rues l’une de l’autre, mais nous préférons être chacune chez soi, histoire aussi de respecter nos manies de vieilles femmes.
    — Ne vous vieillissez pas s’il vous plaît, vous semblez encore jeune, et en tout cas attirante. Je trouve très coquette la façon de vous habiller, c’est d’un très bon goût.
    
    Toute rougissante, pour la seconde fois, Andrée prend la parole :
    
    — Merci Monsieur Michel, je n’ai pas répondu tout à l’heure, j’habite au troisième étage sur rue.
    
    Encore une information nouvelle ; quoiqu’intimidée, elle ne semble pas me repousser, je suis en train de gagner sa confiance.
    
    — Étant probablement appelés à nous revoir, faites-moi plaisir, Madame, ne dites pas Monsieur Michel, appelez-moi Michel. Je suis nouveau dans le quartier et j’aimerais avoir quelques amies comme vous. Vous êtes la première, alors devenez ma marraine.
    — Vous me paraissez très sympathique, une faveur en vaut une autre Michel, appelez-moi Andrée. Moi aussi, depuis la mort de mon mari il y a trois ans, je suis bien seule et avoir une connaissance masculine ne me déplaît pas, car à part ma tante, je n’ai aucun contact amical dans le quartier. Depuis mon veuvage, je me suis renfermée dans ma coquille comme une sauvage.
    — C’est bien ma chérie, ...
    ... répond sa tante, il est temps de te faire d’autres amis que Plum (c’est le yorkshire, on prononce Plume).
    — D’accord pour vous appeler Andrée, c’est avec plaisir ; votre amitié ne m’est pas indifférente. À l’occasion je vous présenterai Patsy, la chienne de mes parents qui habitent à la campagne. Je devrais l’avoir en garde au mois de mai : ils partent deux semaines en Amérique du Sud et comme je connais mal le quartier et les bons endroits pour promener les chiens, vous pourrez me guider ?
    — Si ma présence ne vous est pas désagréable Michel, nous pourrons aller promener nos bêtes ensemble, chien et chienne s’entendront sûrement. Je pourrai aussi vous faire découvrir le quartier tout en bavardant.
    — Volontiers Andrée, je vous le préciserai, ce doit être dans environ un mois, en mai.
    
    Sur ces bons mots, nous prenons congé ; je fais une caresse à Plum. Les deux parentes s’engagent dans les étages et moi je reprends mon bricolage sur la porte palière. Elles discutent toutes les deux de moi, mais je ne comprends pas une phrase complète. En jetant un coup d’œil, sachant qu’elles ne peuvent plus m’apercevoir, je vois quatre jambes monter les étages. Je découvre les jambes d’Andrée bien dessinées, voilées et musclées. Sa tante est plus ronde de partout, petite, boulotte ; elle a la poitrine descendue sur le ventre, des lunettes sur le nez et des cheveux frisés poivre et sel. Elle paraît cependant fort sympathique et probablement une alliée à considérer.
    
    J’entends des pas sur le ...
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