1. Ma relation avec Andrée


    Datte: 08/04/2018, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme rasage, entreseins, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, amourdura, Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe

    ... dit-elle ? Je me suis assoupie sur le canapé, Clémence n’est pas encore arrivée.
    — Non ! C’est moi qui suis en avance, comme j’étais prêt, j’ai devancé le rendez-vous, mais si cela vous gêne, je peux revenir un peu plus tard.
    — Restez Michel, je suis fatiguée du ménage de ce matin et une petite sieste après le repas de midi est, paraît-il, très bonne pour l’organisme. Par contre, je ne suis pas habillée.
    — Comment, vous n’êtes pas habillée ! Vous êtes très séduisante ainsi et cette robe pastel va très bien avec votre physique.
    — Oui, peut-être, mais je n’ai rien dessous.
    — Ah bon ! dis-je. Je crois pourtant voir que votre lingerie est noire.
    — Exact, mais vous ne voyez pas tout, je n’ai pas mis de culotte. Installez-vous dans le séjour sur le canapé, je passe dans la salle de bains me changer avant de vous faire visiter mon appartement en attendant tante Clémence.
    
    Quelque peu déçu, je me dirige vers le canapé, non sans jeter un regard sur le fessier d’Andrée qui me tourne le dos pour gagner la salle de bains, tout en déboutonnant sa robe pour ne pas faire attendre son hôte trop longtemps. Effectivement, elle ne porte pas de culotte et le tissu devenu plus ample, offre à mes yeux un spectacle de fantasme. Je ferme un instant les yeux pour mieux savourer cet instant divin.
    
    Andrée pousse derrière elle la porte sans la refermer complètement. De mon poste d’observation sur le canapé, je vois par l’entrebâillement de la porte la robe qui tombe, dévoilant une femme ...
    ... encore jolie pour son âge, en soutien-gorge, bas et porte-jarretelles et, c’est vrai, sans culotte. Elle se retourne dans ma direction sans me regarder pour attraper un chemisier bicolore crème et noir à ramages, pendu derrière la porte, le met et le boutonne méthodiquement. Elle est tournée face à moi, sans savoir que j’observe sa toison pubienne qui s’offre à mon regard. Le chemisier descend jusqu’à la ceinture, son sexe reste totalement dévoilé et nu.
    
    Le chemisier boutonné, elle met une culotte noire de coton lui moulant les fesses charnues, réajuste ses bas sur les jarretelles puis passe une jupe noire à petits plis pour clore l’habillement. Elle achève sa préparation par un peu de rouge aux lèvres, replace quelques cheveux, quelques pschitt-pschitt de parfum dans le cou puis revient vers moi. Elle se positionne devant moi, en contre-jour de la fenêtre, écarte le bras comme un curé prêchant la bonne parole et dit :
    
    — Est-ce que je vous plais ainsi ?
    
    Il n’y a aucune transparence à travers la jupe doublée, en contre-jour de la fenêtre.
    
    — C’est parfait Andrée, mais permettez-moi de vous dire que tout à l’heure vous étiez tout aussi ravissante.
    — Peut-être pour vous Michel, mais pas pour tante Clémence. Je ne veux pas lui montrer une image de moi qui peut la choquer.
    — Je comprends, mais retenez que votre tenue de tout à l’heure ne m’a nullement choqué, bien au contraire. Pensez-y une prochaine fois, quand nous ne serons que nous deux.
    — Je m’en souviendrai Michel, ...
«12...101112...34»