Ca va, çà vient 3 ...Ca rentre , ça sort, ça fait du...
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... à toi.
- Linda, j'ai beaucoup apprécié ta compagnie au bal et après. Nous sommes devenus des amis. Je suis resté avec toi à ta demande. Je n'ai pas pris d'autre engagement que de revenir danser avec toi dimanche prochain. Mais au nom de notre amitié nouvelle je suis prêt à entendre ton "secret" si tu juges utile de me le confier. Si le partage peut te soulager, parle.
Merci. Voilà, il y a donc environ dix-huit mois, au bal, j'ai dansé avec un jeune homme que je ne connaissais pas. Il était charmant, avait une façon subtile de me flatter. Il était attentionné. Entre deux danses il commandait volontiers des boissons. c'était le prince charmant. Il dansait bien. Je me sentais bien entre ses bras. De mieux en mieux. J'avais dix-neuf ans, j'étais heureuse. Il m'a embrassée sur les joues à plusieurs reprises. Je rêvais
Il a osé embrasser mes lèvres. Donc il me trouvait à son goût. Je venais de rencontrer l'homme qui me rendrait heureuse. J'ai répondu à ses baisers. Je me suis laissée aller contre lui. Je nageais dans le bonheur. Le bonheur d'être vraiment intéressante pour lui me rendait euphorique. Pourtant à force de danser je ressentis une fatigue, comme si le bonheur si fort pouvait faire tourner la tête. Mon danseur si aimable accepta de faire une pause. Puis il proposa de me reconduire chez moi, ici, dans mon appartement.
Il se montra encore plus empressé, plus affectueux. J'étais contente de le voir attentif à mon bien-être, soucieux de me voir fatiguée et ...
... décidé à me réconforter de ses baisers. Personne ne m'avait mis la langue dans la bouche; c'était une révélation, je trouvais ça délicieux. Ses caresses sur mes seins m'ont troublée, sans m'alerter outre mesure. Il voulut que je prenne du repos sur mon lit. Qu'est-ce qu'il pouvait être gentil et comme il embrassait bien.
J'avais la tête lourde, mais ses massages me rendraient ma force. Il massa mes bras, mon ventre, il souleva ma robe pour masser mes cuisses et mes jambes que la danse avait fatiguées. Le prince charmant massait et s'extasiait. Il massa mon sexe à travers ma culotte. Je ne devais pas avoir honte, je devais attendre une sensation de bien-être qui ne tarderait pas. Si je tentais de me dérober ou si je mendiais plus de douceur, si je m'étonnais de sentir ses doigts écarter ma culotte, il me fermait la bouche d'un baiser. C'était calmant, rassurant. Et puis que refuser à ce garçon si tendre, si empressé... Je dégustais; ce travail de fouille des doigts dans ma vulve me surprenait, finissait par plaire. Délicieux comme un endormissement agréable un jour de fatigue.
Je me suis réveillée tard dans la nuit, seule, nue. A côté de moi gisait un préservatif plein de liquide de couleur indéfinissable, crème ou presque incolore, gluant. Mon sexe était douloureux, le drap était taché de sang. Où était Karl ? Que m'avait-il fait ? Il avait marqué mon corps de suçons. Devant mon miroir j'ai vu ces traces sur mon ventre, sur mes seins, sur mes cuisses. Le sang, mon vagin ...