1. La proclamation


    Datte: 08/04/2018, Catégories: fhh, hbi, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, hsodo, confession, Auteur: Kudu, Source: Revebebe

    ... mise directement sur la bosse dans la djellaba. Je me suis senti devenir framboise écrasée. Elle a serré légèrement, m’a attiré vers elle et a posé ses lèvres sur les miennes. Sa langue a forcé mes lèvres et elle est venue lécher la mienne. Cette langue, plus légère et moins râpeuse que celle de Fahri, était douce, légère et curieuse. Elle partait à la découverte de ma bouche, elle me donnait le vertige. J’ai fermé les yeux, j’ai posé les mains croisées au bas de son dos et je l’ai attirée contre moi. Je sentais sa poitrine contre la mienne, je sentais la chaleur de son ventre contre ma bosse, je sentais ma verge s’affoler contre son ventre.
    
    — Ôte ta djellaba, m’a-t-elle ordonné, je veux voir ta bite, la toucher.
    
    La présence de Fahri m’ennuyait un peu, je l’ai regardé, perplexe. Il m’a répondu en levant le pouce droit semblant me dire, vas-y, tu es sur la bonne voie et il nous a invités à entrer dans le chalet à l’abri des regards interdits ou moralisateurs. Christine s’est détachée de moi et elle m’a remorqué jusqu’à l’intérieur, me tenant par le pénis à travers le vêtement. Elle m’a aidé à l’ôter, elle l’a balancé au sol, me soufflant à l’oreille :
    
    — À bas la djellaba !
    
    Elle a passé les doigts sur mes tétons, les a pincés légèrement, les a roulés comme des boutons de radio puis elle les a léchés l’un après l’autre pendant que sa main droite descendait vers mon ventre puis sur mon sexe. Sa gauche, elle, faisait le tour du propriétaire et aboutissait sur mes ...
    ... fesses qu’elle a commencé à caresser doucement.
    
    Entraîné par son exemple, j’ai aussi commencé à laisser mes mains explorer sa peau, l’une lui caressait doucement les épaules en les effleurant à peine pendant que l’autre partait timidement à la rencontre de son sein droit. J’ai imité ce qu’elle me faisait. Je l’ai d’abord empaumé et caressé. Le téton a durci et pris du volume puis je me suis hasardé à le tordre doucement, ainsi qu’elle me l’avait fait. Elle a gémi, elle sentait bon. Une odeur à ce moment indéfinissable pour moi. J’en ai conclu que ce genre de caresse lui était aussi agréable et j’ai continué à l’imiter. Novice, puceau, je répétais les mêmes gestes qu’elle, j’ai glissé la main vers sont entrejambe, j’ai senti ses poils, raides, durs, rugueux. J’ai cherché la fente, je voulais vérifier ce que les livres m’avaient appris et j’ai trouvé. Sous une légère pression, la fente s’est ouverte d’elle-même, intensifiant le parfum, mon index s’y est glissé, a glissé plus loin. Il a rencontré un petit bouton et Christine s’est crispée en émettant un petit cri.
    
    — Je t’ai fait mal ? me suis-je inquiété.
    — Non, a-t-elle soufflé, tu as mis le doigt dessus du premier coup. C’est mon petit bouton d’amour, mon clitoris. Repasses-y le doigt, c’est trop bon.
    
    J’ai, bien entendu, recommencé mon geste plusieurs fois, elle a de nouveau gémi, gémi de plus en plus fort. Elle avait lâché mon pénis, je me concentrais sur ce que je faisais, sur ses réactions. Le haut de sa poitrine était ...
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