1. Irène, le retour


    Datte: 06/06/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Auteur: Gus-solo, Source: xHamster

    ... canapé, on voyait clairement le haut de ses bas sous le bas de son haut qui ne descendait vraiment pas trop bas. Firmin est resté scotché pendant quelques secondes en lui souriant bêtement… foudroyé debout ! Et encore, dans cette pose-là, il n’avait encore rien vu du décolleté diabolique. Au bout d’un temps il s’est tourné vers moi avec son regard exalté, m’a fait quelques grimaces de connivence l’air de dire « putain celle-là, quelle bombe ! » (et je reste poli), je l’ai ferré :
    
    — Une petite bière, Firmin ? Faut qu’on cause…
    
    J’ai décapsulé une bouteille, lui ai tendu et je suis allé m’asseoir dans le fauteuil placé en face du canapé, en embuscade.
    
    Firmin a une taille moyenne et un peu de ventre, il a une dizaine d’année de plus que moi, beaucoup de cheveux en moins et le même nombre d’yeux mais bien plus gros, les siens donnent l’impression qu’ils vont sortir de leurs orbites et tomber dans sa barbe d’homme des bois. Le plus parfait des airs pervers. Il est célibataire depuis des années et dans un manque sexuel incommensurable, genre condamné au célibat à perpette sans aucune chance de remise de peine.
    
    Je l’ai invité à s’asseoir avec nous et il a été forcé de s’asseoir prés d’Irène, elle lui a fait son plus beau sourire et il a dû se demander s’il ne rêvait pas, surtout depuis qu’il avait une vue imprenable sur le piège qu’elle lui tendait dans son décolleté. La mouche volait déjà très près de la toile.
    
    — Firmin, je crois que ça sera notre dernière affaire ...
    ... ensemble…
    
    — Ah bon ? Pourquoi ?
    
    — Je ne m’en sors pas avec de si petites marges
    
    — T’as qu’à vendre plus cher…
    
    — Si je fais ça, mes clients iront ailleurs, je ne vendrai plus rien et du coup toi non plus… ce qui nous ramène au point de départ : ça ne peut pas continuer dans ses conditions là.
    
    Firmin a semblé réfléchir mais Irène ne lui a pas laissé trop de temps, en lui adressant un sourire désolé elle a dit :
    
    — En fait, Gus n’ose pas le dire, mais tu vends ton herbe beaucoup trop cher
    
    — Attends, euh… c’est qui elle ?
    
    — C’est mon associée
    
    — Associé de quoi ? C’est pas une pute ?
    
    J’ai failli bondir de mon fauteuil pour lui mettre un pain, mais Irène m’a calmé d’une œillade complice
    
    — Si… parfois je fais la pute, mais pas ici… là je discute affaire, tu comprends chéri ?
    
    J’ai été scié par la technique, elle l’avait coupé en deux avec ce seul petit « chéri » à la fin de la phrase. Elle venait de lui dire : « je suis peut-être une pute, mais tu n’es pas le genre de ma clientèle » Elle l’avait désarçonné et il ne savait plus s’il devait la mépriser ou s’écraser. C’est sa bite qui a choisi :
    
    — Excuse, hein… je voulais pas te traiter…
    
    — Pas de soucis, mais t’es gentil alors, tu vas me chercher une bière, j’ai la flemme…
    
    Il s’est levé comme un seul homme (et pour cause) et lui a ramené une bouteille décapsulée, il était cuit. j’ai repris la conversation.
    
    — C’est vrai que tu es plus cher que tous les autres producteurs… t’es un copain, mais ...
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