1. Sophie ou Eloi, homme ou femme


    Datte: 05/06/2020, Catégories: hh, hplusag, jeunes, extracon, hépilé, hotel, intermast, Oral hsodo, champagne, confession, extraconj, Gay Auteur: PDumaine, Source: Revebebe

    ... Avec la vigueur et l’excitation de la jeunesse, il vient claquer avec un petit bruit mat contre son ventre. Je serre dans ma paume les testicules qui se recroquevillent dans leur sac tiède. La verge insolente est dressée vers le ciel, arrogante. Sous la peau diaphane palpite une veine qui descend le long de la couture plus brune du prépuce jusqu’à l’amorce des bourses. Je sens les contractions spasmodiques des fesses et des cuisses du jeune homme, qui s’est avancé à quelques centimètres de mon visage.
    
    Je lève les yeux, Eloi a baissé ses paupières et semble concentré sur le désir qui agite son sexe.
    
    — Ouvrez les yeux, regardez, c’est pour cela que vous êtes venu !
    
    Je plante mon regard dans le sien, qui a perdu de sa superbe et ressemble maintenant plus à celui d’une biche que d’un cerf en rut.
    
    La pointe de ma langue s’est posée sur la base des bourses et suit le sillon qui sépare les testicules. La peau est tiède, douce. Je suis lentement la veine qui palpite de long de la verge, laisse ma lèvre inférieure caresser la peau découverte par la pointe de ma langue. Le bourrelet du prépuce a disparu sous la tension. Je joue avec le frein avant d’agacer le méat rouge brillant, bâillant comme une petite bouche impudique.
    
    Devançant mes intentions, Eloi a saisi son sexe et l’abaisse lentement jusqu’à l’horizontale. Je prends le relais de ses doigts et me saisis de la jeune tige. Inconsciemment, ma bouche et mes lèvres se posent sur le gland, comme si elles se posaient ...
    ... sur un clitoris monstrueux. Une légère pression du bassin force mes lèvres et j’avale lentement le sexe.
    
    La pénétration lente et douce semble interminable. Ce n’est pas la grosseur mais la longueur et la tendre rigidité qui me surprennent. Je suis obligé de retenir la poussée des reins. Quelques millimètres de plus et ce serait la nausée. Ma langue commence à jouer avec le sexe d’Eloi, mes joues l’aspirent. Un léger gémissement de satisfaction me fait lever les yeux. Les joues glabres du jeune homme se sont couvertes de rose, les lèvres sont légèrement entrouvertes, les paupières baissées, et les longs cils sont agités de tressaillements. Il est tout à son bonheur. Ma langue, mes lèvres, mes joues continuent leur danse impudique, aspirant, pompant, tétant, suçotant, mâchouillant la tige tiède. Un léger filet de salive vient de glisser à la commissure de mes lèvres. Mes mains ont repris possession des deux globes tièdes de ses fesses, qu’elles pétrissent et caressent, réfrénant les coups de reins que le jeune chiot ne peut contrôler.
    
    Ma bouche et ma gorge se sont habituées à la longueur du sexe, qui s’enfonce maintenant plus profond. Mon nez vient de buter contre son pubis. Mes mains continuent de malaxer les jeunes fesses, les écartant, jusqu’à ce que mon majeur droit vienne jouer avec le jeune œillet. Au premier contact, Eloi n’a pas pu réfréner un léger coup de rein que j’appréhendais et que mon front vient contrôler. J’assène sur l’une de ses fesses une claque sonore ...
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