1. COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (1/3)


    Datte: 08/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... avaient engagée pour me faire chanter.
    
    • Merci, tu n’as pas cédé à cet homme qui voulait que je serve de monnaie d’échange après avoir perdu cette grosse somme.
    
    Elle était dans ma chambre quelques minutes après, sans que j’aie ouvert l’enveloppe, je savais trop bien ce qu’elle contenait en plus des billets, je venais de rejoindre un monde que le commun des mortels ignore.
    
    La question sur ma précision de tir faisait de moi un tueur à gages.
    
    • Enlève tes affaires, fais-moi voir pourquoi je viens d’accepter de descendre vers les enfers.
    
    • Tu me fais peur Julien, qu’as-tu accepté de faire pour m’éviter d’appartenir à ce gros porc ?
    
    • C’est une affaire d’homme, tu ne pourrais pas comprendre, aller, déloque-toi.
    
    Elle enlève ses affaires comme la bonne pute qu’elle doit être, combien lui a-t-on donné pour traîner vers le stand de tir et venir avec moi dans ce tripot ?
    
    Je venais de perdre ma liberté, obligée de descendre celui ou celle dont le nom figure sur le papier avec la masse des billets de 500 €.
    
    • Julien, prends-moi, tu as une bite le double de celle que j’ai vue depuis que j’ai perdu ma virginité.
    
    Je l’ai couché et je lui ai labouré la chatte, jusqu’au moment où elle a hurlé de plaisir, j’étais satisfait de moi, elle savait tortiller du croupion et j’ai fini par lui décharger mon sperme qui n’arrêtait pas de gicler.
    
    Passons ce contrat et les autres, tous réussis, je sais que j’ai fait mouche, mais je ne regarde jamais les informations et ...
    ... ainsi j’ignore quelle était ma cible.
    
    Dans les contrats suivants, j’ai compris que l’adrénaline que mon corps fabriquait chaque fois que je visais ma cible était si forte que dès la troisième fois, je m’arrangeais pour avoir une femme dans mon lit m’attendant dans mon hôtel.
    
    C’est le cas après avoir vu tomber l’homme au costume bleu, plein cœur, tire parfaits, 100 000 € sur mon compte à déposer, car au fure et à mesure que mes balles atteignent leurs cibles, mes tarifs augmentent.
    
    • C’est fait, je me replis, j’entends la mémé tousser.
    
    Je sors de l’appartement situé au-dessus d’une pharmacie où je rentre pour donner le change en achetant des préservatifs.
    
    Si l’on vient m’interroger la petite blonde, que j’aurais bien dragué si Manon ne m’attendait à l’hôtel dirait que j’étais bien venu, ce n’est pas toutes les heures qu’elle vend ce type de produit.
    
    La police est arrivée de l’autre côté de la rue, mais comme il y avait des routes à sens unique, j’ai pu prendre ma voiture garée devant et partir tranquillement.
    
    On pourrait croire que j’ai un travail où il faut savoir être discret, c’est vrai, mais les passant remarque plus facilement ma Porche plus que le beau gosse qui l’a conduit.
    
    Je rejoins l’autoroute à Chalon Nord pour me rendre à Beaune, dans l’hôtel de la vieille ville où Manon m’attend.
    
    Manon, je l’ai draguée hier, dans un bar à vins près des Hospices, un jour où j’aurais le temps, il faudra que je les visite, dans cette chambre prise hier, il y ...